"‘Mon choix restera toujours incompréhensible pour ceux qui ne connaissent que le monde visible’, relève Henry Quinson dans son livre témoignage ‘Moine des cités, de Wall Street aux quartiers Nord de Marseille’, où il décrit son parcours personnel et sa lente métamorphose spirituelle, inspirée du ‘nouveau monachisme’ né aux Etats-Unis. Ce moine dérangeant aime à être dérangé. Les remises en cause le stimulent. Le lecteur non-conformiste appréciera."

Le Monde

"Un virage à 180 degrés qui a médusé ses collègues des marchés financiers. Le golden boy devenu moine en cité HLM ne regrette rien !"

Le Parisien

"C'est un puissant témoignage spirituel, un recueil de fioretti urbaines, une épopée humaine et spirituelle. Avec humour et délicatesse, le fondateur de la Fraternité Saint Paul sonde le mystère d'une vocation, ses hésitations, retrace l'aventure du monastère en HLM, loin des clichés qui collent à la 'banlieue'.

La Vie

"Le témoignage iconoclaste d'un homme en phase avec son époque."

Pèlerin

"A travers un récit passionnant, l'homme de Dieu nous livre les clés d'un chemin à la fois surprenant et émouvant."

France Dimanche

"Dans ce récit plein d'humour et de sensibilité, Henry Quinson prend à rebours les stéréotypes et parle du quotidien, de ces rencontres entre riches et pauvres, entre chrétiens et musulmans, entre croyants et incroyants."

France Soir

"Voici un best-seller pour temps de crise ! ‘Moine des cités’ raconte la vie d’un christ moderne qui se dépossède de tout pour trouver l’essentiel. Le bonheur exige parfois des virages à 180 degrés. Ceux qui en ont marre de la course éperdue à l’argent doivent lire ce récit palpitant. Foi de trader !"

Elle

"Franco-américain de 47 ans promis à une brillante carrière dans les affaires internationales et dans la politique, Henry Quinson, raconte dans ‘Moine des cités’ comment il a fini par fonder dans les quartiers nord de Marseille une fraternité étonnante, un monastère au cœur de nos banlieues. La Fraternité Saint Paul est l’une des expressions concrètes du ‘nouveau monachisme’ apparu aux Etats-Unis dans les années 1990, qui veut relocaliser la vie monastique dans les quartiers déshérités de nos grandes villes."

Famille chrétienne

"En quoi cette histoire concerne-t-elle l’Algérie ? Henry Quinson nous donne lui-même la réponse à plusieurs reprises dans son témoignage : 'Je suis encore à Paris songeant à la vie monastique lorsque une étrange vision s’impose à moi le 24 octobre 1989, consignée le jour-même par écrit : dans ma prière j’ai vu que je faisais l’école aux enfants maghrébins de Marseille… '. La période n’est pas anodine. C’est particulièrement celle de la montée de l’islamisme radical, caractérisée en Algérie par la victoire du FIS quelques mois plus tard aux élections municipales, puis aux législatives de fin 1991. Cette question algérienne va ensuite se poser à rythme régulier dans le récit, marqué particulièrement par les assassinats de 19 religieux chrétiens en Algérie entre 1994 et 1996. Les informations sur ces crimes apparaissent comme des marqueurs du temps, qui mettent en relief la montée paradoxale de sa volonté d’engagement irrépressible. Tout part pour lui de cette abbaye de Tamié, poumon spirituel des trappistes, qui a des liens très forts avec celle de Tibhirine avec laquelle les échanges sont réguliers. Vivre ensemble, découvrir les chemins communs. Voilà l’état d’esprit d’Henry Quinson qui fondera, dans un modeste appartement, à la fin de l’année 1996, la Fraternité Saint Paul, du nom du quartier. Là, outre la vie religieuse personnelle des 'moines', qui ne se confond jamais avec un prosélytisme inutile à leurs yeux, et leur activité professionnelle pour alimenter la 'maison commune', c’est la vie quotidienne qui prend le dessus, fait notamment d’aide aux devoirs aux petits Maghrébins et Africains de la cité, et d’échanges de tous les jours, dans la vie ordinaire. Pour Henry Quinson, 'la vie monastique en cité HLM n’est qu’un modeste témoignage de ce mystère fécond de la métamorphose spirituelle : dans l’humilité de la vie quotidienne naît un monde nouveau, ouvert et fraternel, fruit d’une promesse'. Voilà bien un credo à partager."

El Watan

"Après une lucrative carrière de banquier international, Henry Quinson témoigne d'une 'mobilité sociale descendante volontaire' en fondant une fraternité monastique en cité HLM à Marseille. Pour lui, la spiritualité n'est pas 'un luxe réservé à ceux qui ont tout' mais doit porter 'des fruits de transformation pour la société'. Voilà un parcours inhabituel et un engagement concret à découvrir."

Le Dauphiné Libéré

"C'est un moine étonnant, Henry Quinson. Un moine qui ne se contente pas de prier dans un couvent. Un moine qui pose une analyse politique sans concession. Un drôle de moine qui affirme que Dieu n'est pas un déserteur et habite parmi nous pour en tirer une conséquence pratique : l'institution d'un nouveau monachisme dont la première règle sera la relocalisation des couvents dans les banlieues de la mondialisation. Et à tous ceux qui n'ont pas sa vocation, il propose un conseil talmudique paradoxal : souviens-toi de l'avenir ! Car c'est seulement en changeant le présent que l'on peut croire en l'avenir. C'est simple, évident, mais cela demande d'avoir la foi qui soulève des montagnes d'un drôle de moine."

Les Dernières nouvelles d'Alsace

"Ce témoignage hors du commun est passionnant. Il montre, en outre, comment la relecture des événements permet de discerner l'appel particulier et d'y répondre dans la liberté et la paix."

NDWeb - Centre spirituel ignatien sur internet

"Henry Quinson nous introduit à  une spiritualité pour notre temps qui ne soit ni mortifiante, ni figée dans les observances. A partir de l'étude de la vie de Madeleine Delbrêl, le fondateur de la Fraternité Saint Pauk prône une approche vivifiante et réaliste (respect des heures de sommeil par exemple), adaptée au contexte actuel (des moines dans la cité), allant à l'essentiel, faisant le lien entre le temporel et le spirituel. Ce livre est touchant et convainquant."

Démocratie et Spiritualité

"Comment un trader franco-américain peut-il tout quitter pour devenir moine dans un monastère en Savoie avant de fonder sa propre fraternité pour aider les personnes en détresse ? Mystère, mystère... Ce livre est d'abord captivant. Oui, le lecteur a envie de connaître la suite de chacune des pages qu'il vient de lire. Ensuite, l'auteur est remarquable d'humanité. Cet homme-là possède plus d'un coeur. Henry Quinson a aussi beaucoup d'humour. Ne vous attendez pas à un nouveau livre sur les problèmes de banlieue. Il s'agit avant tout du parcours spirituel d'un homme qui n'avait vraiment pas prévu de devenir moine ! Un grand bol d'air, y compris pour ceux (dont je fais partie) pour qui l'existence de Dieu est l'objet d'un doute perpétuel."

Un livre par jour

"Le sous-titre, à lui seul, résume bien le parcours original de l’auteur. Ses origines (bourgeoisie franco-américaine), ses études (IEP Paris), ses débuts prometteurs dans la carrière bancaire, rien ne laissait prévoir son brusque changement de vie. À 28 ans, en 1989, il démissionne et rejoint l’austère monastère cistercien de Tamié, en Savoie, où il reste six ans comme postulant, puis novice. Mais au moment de prononcer des vœux définitifs, il s’interroge. À ses yeux, il manque à sa vie monastique une dimension : le service des pauvres. Hanté par une étrange vision qui l’invitait à se rendre en mission dans les banlieues de Marseille, passionné par l’aventure spirituelle des moines de Tibhirine, si tragiquement terminée, il obtient, au bout d’une longue quête, la permission d’expérimenter une formule neuve : il fonde la 'Fraternité Saint-Paul' dans les quartiers nord de Marseille, où il partage avec quelques frères un modeste appartement et travaille, comme eux, à mi-temps pour assurer sa subsistance. La communauté observe les grandes règles de toute vie monastique, le célibat, la pauvreté, la prière qui rythme les journées, mais, présence dans la ville, elle est avant tout à l’écoute des autres, accueillante comme l’était l’apôtre Paul dont elle porte le nom, et assure, auprès de ses voisins, des services variés, l’accompagnement scolaire, par exemple. De ces rencontres quotidiennes avec le monde des cités naît une vision nouvelle des êtres et des choses. Car vivre en HLM , c’est 'Habiter les Lieux de Métamorphose' ! Un récit de vie, très alerte et qui, au moins, ne manque pas d’humour."

L'Eglise à Marseille Aujourd'hui

"Passé d'une vie dorée de banquier à la vie monastique, Henry Quinson reçoit alors l'appel à fonder une communauté de prière dans les quartiers nord de Marseille. Avec humour, l'auteur retrace sa transformation et celle qu'il voit dans le quotidien des cités, là où, loin des clichés médiatiques, rencontres et fraternité font naître un monde plus heureux."

La Procure

"Le titre 'Moine des cités, de Wall Street aux Quartiers Nord de Marseille' résume parfaitement le parcours atypique d'Henry Quinson, ancien trader devenu moine dans une cité HLM de la cité phocéenne. Si l'habit ne fait pas le moine, l'habitat si! Telle est la conviction d'Henry Quinson, qui a décidé finalement de rejoindre les gens sur leur territoire en participant à la vie d'un quartier immigré pauvre. Un itinéraire raconté avec humour et sensibilité."

Courrier de l'Ouest

"Le style d’Henry Quinson, aussi sobre qu’intense, me fait penser aux propos de Frère Didier de Tamié sur la simplicité de l’art floral : ‘Une fleur suffit, car l’essentiel est au-delà. Quelle puissance d’expression, quand on peut dire le plus avec le moins !’ Ce style est le fruit d’une vie dépouillée qui a chassé le ‘gras’ pour ne conserver que l’essentiel, le mot bien choisi, le mot juste, au lieu d’une douzaine de mots médiocres. D’une certaine manière, ce style est plutôt anglo-saxon. Il refuse les développements cérébraux à n’en plus finir de bien des intellectuels français (sans parler des homélies interminables des ecclésiastiques). Pourtant, Henry Quinson parvient à marier l’art de la nuance et de la subtilité conceptuelle française avec le goût des anglo-saxons pour la clarté et l’efficacité. ‘Moine des cités’ est donc d’une lecture extraordinairement agréable, à la fois dense, subtil, émouvant et profond. Ses chapitres courts, où rien n’est laissé au hasard, sont articulés avec tant de finesse et de cohérence, qu’ils se lisent autant comme de la poésie que comme de la prose. Disons les choses comme elles sont : ce récit est si bien écrit qu’il donne envie de le relire encore et encore. G. B. Shaw donnait ce conseil aux écrivains en herbe: ‘Montrez, ne discourez pas !’ Henry Quinson s’inscrit dans cette tradition qui se garde du verbiage moralisant et abonde en faits de vie stimulants. Pas de grands discours sur la charité, l’hospitalité, la fraternité, le dialogue interreligieux, etc.. Non ! Des exemples de la vie ordinaire: rencontres, dialogues, situations concrètes. Et là encore, une très belle plume pour exprimer le caractère épiphanique de ces événements qui révèlent l’indicible. Henry Quinson livre son cheminement par le choix des détails significatifs. Il parvient de la sorte à faire entrer le lecteur dans son intimité et sa vulnérabilité. Madeleine Delbrêl avait cette même allergie à la vie toute tracée d’avance, qui n’est qu’une illusion spirituelle : ‘La route se découvre au fur et a mesure…’ et ‘La route se découvre toujours à travers l’imprévisible.’ Le récit d’Henry Quinson démontre clairement que nous devons accepter de renoncer à la vie que nous avions prévue pour nous ouvrir à la vie qui nous ouvre les bras ! Ceci requiert une démarche sérieuse mais Henry Quinson n’abandonne jamais son merveilleux sens de l’humour : son livre fourmille d’anecdotes amusantes jusqu’à l’autodérision (qui dénote une vraie humilité). Les trois derniers chapitres sont d’une profondeur éloquente. Au terme de son aventure, Henry Quinson s’est affranchi de toutes les dualités illusoires : le lecteur sent qu’il n’y a plus d’opposition entre la métamorphose du dedans et du dehors. La vision est devenue aussi pénétrante, inclusive et panoramique que celle d’un alpiniste parvenu au sommet. Ce sommet ressemble au Tabor de la Transfiguration."

Charles F. Mann, biographe de Madeleine Delbrêl

"Je suis heureux d'exprimer la gratitude du Saint-Père Benoît XVI pour l'ouvrage d'Henry Quinson intitulé 'Moine des Cités. De Wall Street aux Quartiers-Nord de Marseille'. Puisse ce témoignage aider les lecteurs à transformer leur regard sur les populations qui habitent la périphérie des grands centres urbains et susciter des vocations pour faire vivre les fortes et belles intuitions du nouveau monachisme !"

Gabriel Caccia,  Secrétairerie d’Etat du Vatican

"Je félicite Henry Quinson pour l'exigence de qualité qui a commandé à la réalisation de 'Moine des cités'. A la lecture de ce récit, empreint d'humour et d'humanisme, qui met en lumière un riche parcours spirituel, je tiens à faire part de mon profond respect au regard de l'esprit de dialogue, de tolérance, de paix et de générosité qui anime la Fraternité Saint Paul, notamment les actions remarquables en faveur de nos concitoyens en situation de difficulté."

Fadela Amara, secrétaire d'Etat chargée de la Politique de la Ville

"Je suis très heureux du lien profond qu’Henry Quinson incarne entre Tamié, Tibhirine et la cité Saint-Paul de Marseille. L’essentiel est dans cette proximité auprès d’une population immigrée souvent rejetée parce que méconnue. Par cette présence de prière et d’amitié humaine, la Fraternité Saint Paul rend présent le Royaume."

Dom Victor Bourdeau, abbé de Tamié

"J’ai doublement apprécié 'Moine des cités'. D’une part, parce qu’il ravive en moi beaucoup de souvenirs liés à la période stamédienne d'Henry Quinson. D’autre part, parce qu’il m’a permis de mieux comprendre le cheminement qui l'a conduit à fonder la Fraternité Saint Paul. Ce livre très vivant semble particulièrement bien venu. Il est porteur d’une forte leçon d’espérance pour l’Eglise de France soumise aujourd’hui à la tentation du doute et du repli identitaire, mais aussi pour une société où beaucoup sont atteints du mal de vivre et tentés par les démons du racisme et de l’intolérance. Grâce à Dieu, ce récit manifeste que l’Esprit est bien toujours à l’œuvre dans le monde d’aujourd’hui."

Dom Jean-Marc Thévenet, abbé d'Acey, ancien abbé de Tamié

"La Fraternité Saint Paul est un petit signe et une lumière manifestement placés par Dieu au milieu des habitants des Quartiers Nord de Marseille comme Celui qui est venu habiter avec nous..."

Dom Etienne Baudry, ancien abbé de Bellefontaine

"J'ai été profondément émue par ce que vit Henry Quinson avec ses frères, tout son cheminement pas toujours simple, sa persévérance et le visage d'une Eglise qui avance. Bien entendu dans ses questionnements je retrouve Christophe et je me demande quel moine il serait aujourd'hui, lui qui pendant un temps douloureux a eu l'envie de vivre sa vocation autrement  dans l'ordre cistercien."

Une soeur de F. Christophe, martyr de Tibhirine

"Cette autobiographie se dévore presque d'une seule traite. Relecture positive, pleine de fraîcheur et d'émerveillement, d'une vie peu banale mais très humaine, en quête constante  d'authenticité, de simplification. Puisse ce témoignage susciter d'autres vocations !"

A. C., Angoulême

"J'ai été ébloui  par deux choses. D'abord, un moine héritier d'une tradition mais aussi entrepreneur de vie monastique plus soucieux de faisabilité que de répétition. Ensuite, un homme cessant de folkloriser les traditions et tentant de les mettre en acte dans un monde sans Dieu où nous devons vivre avec Dieu comme si Dieu n'existait pas. L'autre, c'est l'intrus : celui qui dérange. Pourtant, c'est peut-être l'Epiphanie du Christ. Même dans une vie ordinaire, les questions posées par Henry Quinson sont utilisables. Ce livre est une invitation à chercher vraiment Dieu !"

J. L. D., Paris

"Frère Henry, c’est un grand moment de joie, de lire votre livre, mais c’est aussi une véritable épreuve physique ! Oui, parce que tous les sens sont en éveil et tous sont sollicités ! On commence par être ému, à la découverte de votre parcours personnel et spirituel. On stress, un peu, pour vous et avec vous pendant votre longue période de discernement qui vous amène à fonder la Fraternité Saint Paul à Marseille. On rit, pas mal, à certaines de vos anecdotes et à la finesse des traits d’esprits de votre écriture. On pleure, …si quand même, au récit de toutes ces joies quotidiennes ; les vôtres et celles de votre communauté, malgré les difficultés de votre mission. On réfléchit, beaucoup, à la véritable mutation dont notre société est l’objet, en matière sociale et culturelle. La multitude d’éléments de réflexion percutants et criants de vérité que vous exposez nous fait doucement admettre que vous avez raison et que la seule façon de comprendre, d’accueillir et d’aimer notre prochain c’est de vivre près de lui ! Pour finir, il a un petit côté énervant quand même votre livre ! Si, je vous assure ! Enervant, parce qu’on se rend compte que discerner ce n’est pas si facile ; vous le dites vous-même : 'Le discernement chrétien c’est sans doute l’art de voir et demander la lune !' (En voilà un programme ! Le pire c’est qu’en demandant la lune on risque de l’obtenir et qui nous dit que l’équipement sera fourni ?) Enervant, enfin, car quand on referme votre livre, la première question qui nous vient à l’esprit c’est : 'Et moi, je fais quoi pour accueillir mon prochain ?'"

C. T., Toulouse

"Depuis que j'ai lu 'Moine des cités', je fais un vrai travail intérieur. J'ai vécu en cité HLM de 13 à 18 ans. Ce fut difficile pour moi et mes parents. Il y avait une forte population maghrébine et un bon taux de chômage. Les relations étaient amicales et tendues à la fois. Mon père (immigré italien, naturalisé français) avait 'fait la guerre d'Algérie'. En découvrant la vie d'Henry Quinson, j'ai beaucoup approfondi la question, et aussi lu Madeleine Delbrêl. L'analyse d'Henry Quinson sur 'la résidence' fut la porte ouverte qui me manquait."

F. F., En Calcat

"Ce cheminement est aussi captivant qu'un roman d'aventure. Henry Quinson observe et analyse avec simplicité les situations compliquées comme un jeu de mathématiques dont il trouve les solutions prudemment mais sûrement."

P. B., Marseille

"Qu’un golden boy né alors que couvait déjà mai 68 renonce aux fastes du veau d’or pour suivre le Christ au milieu d’hommes et de femmes qui illustrent la face inversée de la même communauté humaine est le symbole d’une nouvelle  révolution, celle-ci véritablement évangélique. La Fraternité Saint Paul témoigne d’une vitalité de l’Eglise que l’on souhaiterait voire rapidement se développer. Cette initiative n’est pas sans évoquer ce que fut au lendemain de la Seconde guerre mondiale le mouvement des prêtres ouvriers. Mais avec deux différences essentielles. D’une part, elle est totalement étrangère aux analyses marxistes qui eurent alors une profonde influence dans de vastes fractions du clergé français. D’autre part, et peut-être surtout, au lieu d'axer l'élan évangélique sur un prolétariat ouvrier en voie d’extinction en tant que classe sociale, la Fraternité Saint Paul rejoint une population jeune, en pleine explosion démographique, et sur laquelle se jouera demain l’avenir de la nation. Au demeurant, le mouvement des prêtres ouvriers allait parfois négliger la liturgie traditionnelle de l’Eglise, tandis que la Fraternité Saint Paul puise dans ces richesses accumulées au cours des siècles. Du VIe au XIIIe siècle, le vaste mouvement monastique régularisé par saint Benoît fut l’âme et le moteur de la civilisation de l’Europe, après la chute de l’Empire romain et les ruines des invasions barbares. Il demeure aujourd’hui une force vive de l’Eglise. On ne peut qu’espérer que la Fraternité Saint Paul constitue l’embryon d’un nouvel élan d’évangélisation dans ce qui subsiste d’un Empire français lui aussi assailli par tous ceux qui aspirent à rallier la civilisation européenne. La Fraternité Saint Paul est probablement la réponse de l’Eglise la plus appropriée dans les innombrables cités dites de non-droit sur lesquelles la République se contente, en l’état, de jeter un voile pudique."

H. B., Paris

"Henry Quinson parvient à montrer le travail de l'Esprit Saint d'une manière très dense. Sa sincérité nous instruit sur un parcours d'homme 'qui n'est pas laissé tranquille'. Ce travail intérieur est rarement si bien partagé. Le mystère de l'Incarnation est ainsi approché, ce qui n'est pas, avouons-le, une mince affaire !"

G. T., Marseille

"Cette autobiographie est très agréable à lire et bouleversante à la fois. Le parallèle entre l'histoire de la France et du monde et le chemin de l'auteur est fascinant. Belle leçon de foi, de patience, de discernement, qui fait réfléchir ! Le lecteur referme le livre et se demande : quelle est ma mission à présent ?"

M.-C. P., Mulhouse

"Alors que je passais mes vacances près d'Avignon, j'ai eu la chance de découvrir le livre d'Henry Quinson, 'Moine des cités', dans la petite librairie de St-Michel de Frigolet.  Je l'ai acheté le matin et l'ai fini le soir. Cet ouvrage m'a ouvert les yeux et fait réfléchir : j'en remercie l'auteur. J'espère qu'un éditeur américain traduira 'Moine des cités', car ce livre a beaucoup de choses importantes à dire aux Etats-Unis."

T. W., Harveys Lake, Pennsylvania, USA

"'Moine des Cités' se lit à la fois comme un roman, et à la fois il fait réfléchir. J'ai même mis sur deux pages des passages ou citations qui m'ont particulièrement provoqué... J'ai été très sensible à la façon qu'a Henry Quinson de faire la relecture de son parcours : ses questions, ses angoisses même, ses accompagnateurs, ses compagnons, sa prière, et bien sûr l'Esprit qui l'a guidé, lui montrant assez clairement le but à atteindre, lui laissant le soin de découvrir au jour le jour la route à prendre, les choix à faire. Ce beau témoignage n'est pas exploit personnel, mais manifestation de l'oeuvre du Seigneur en celui qui se laisse conduire par Lui. L'essentiel n'est-il pas d'être une présence d'Eglise, en manifestant l'Amour du Christ à tous ceux qui nous sont proches, particulièrement les petits, les isolés, qui frappent à notre porte ?"

F. G. G., La Duchère, Lyon

"Lire 'Moine des cités' dépoussière les idées reçues et l'on peut s'autoriser à dire : oui, c'est possible, aujourd'hui, de faire le choix de l'Essentiel, de chercher à engager sa vie avec et pour les autres, au nom du Christ et d'en être heureux... J'apprécie l'honnêteté d'Henry Quinson à décrire les difficultés du quotidien, le danger des idées reçues tenaces et l'Espérance ouverte par la rencontre en frères en humanité."

V. L., une amie de Madeleine Delbrêl

"Je ne parlerai ni de foi ni de vocation mais seulement du plaisir que j’ai eu à lire 'Moine des cités'. Le récit d'Henry Quinson est clair, argumenté, alerte et s’appuie toujours sur des citations éclairantes. J’ai aimé la capacité de l'auteur à dépasser les habitudes, à repenser et donc à adapter ce que nous avons reçu à de nouvelles situations, à de nouvelles problématiques ; idem pour son talent d’organisateur, de constructeur. Garder l’essentiel, mais remettre à jour notre héritage. Revenir au message reçu tout simplement."

F. U., Marseille

"Après avoir lu 'Moine des cités', j'ai comme l'impression d'être entourée de ces voisins dont Henry Quinson parle avec une profonde considération. Son goût pour les humbles, son respect des autres, sa vision de notre société, tout cela me touche vraiment. Au delà des questions spécifiquement religieuses, ce qui m'attire, c'est bien son sens de l'autre."

F. R., Lyon

"'Moine des cités' est une poignante autobiographie qui n'est pas égocentrée. J'ai compté que les mots 'amour' et 'fraternité' sont utilisés chacun plus de cinquante fois en deux cents pages. Cette Bonne Nouvelle que Dieu est Amour et que nous sommes tous frères revient donc littéralement une page sur deux comme un refrain, et l’on ne s’en lasse pas ! La centaine de citations bibliques qui émaillent ce récit signalent que le personnage principal n’est autre que Dieu lui-même. Merci à Henry Quinson d’en être le témoin convaincu et la plume convaincante !"

S. I., Créteil

"Je suis encore sous le choc du livre d’Henry Quinson, ‘Moine des cités’. Ce témoignage renvoie aux questions essentielles et à la radicalité de l'Evangile.  Certains passages sont à apprendre par cœur au sens propre et figuré... Et nous, que faisons nous dans notre coin de campagne où les gens ont si peur de l'étranger, où pourtant 95 % sont baptisés, mais où les enfants ne fréquentent plus les églises mais regardent avec leurs parents TF1 ? Comment annoncer la Bonne Nouvelle et la vivre ? Nos prêtres, que nous aimons bien, sont occupés à faire des enterrements .... Ce livre est vraiment fort."

G. P., Pimorin

"Ce livre se lit quasiment d'une traite tellement nous désirons savoir comment ce jeune homme comblé par la vie - famille, dons personnels, profession passionnante - va tout quitter pour trouver la voie de la joie qui rayonne de lui sur la photo de couverture. Chemin peu banal décrit avec clarté, humour et sensibilité : la quête d’un homme qui découvre peu à peu sa vocation personnelle dans un discernement vécu en Église. Henry Quinson nous fait le récit de la naissance en France d'une nouvelle forme de vie monastique pour notre temps, dans la fidélité à la plus ancienne tradition ecclésiale, la Fraternité St Paul, communauté de moines en cité HLM organisée depuis 1997 autour de sept piliers : célibat, prière, logement HLM, travail à mi-temps, accueil, entraide, participation à la vie paroissiale. Oui, il se vit de grandes choses dans l'Église ! L'Esprit continue à appeler, et des cœurs généreux à répondre en se laissant guider pour une incarnation constamment renouvelée du Christ dans notre monde aujourd'hui."

Bibliothèque de culture religieuse, Pau

"Henry Quinson a produit sur moi l’effet du rayon vert sur la mer à son couchant, au plus profond de mon être, une vibration. Ce que la Fraternité Saint Paul réalise, je le  médite dans mon cœur depuis tant d’années ! Nous sommes dans les préliminaires d’une nouvelle conscience : une humanité nouvelle ne s’opère pas sans désagréger l’ancienne. ‘Moine des cités’ nous réveille !"

N.R.B., Saint-Maur

"Un mot me vient à l'esprit : avant-gardiste. Ayant fait l'analyse des problèmes identitaires qui minent notre société, l'auteur prend son bâton de pèlerin et va rabibocher les cabossés de la vie au cœur de la cité, créer du lien social avec une humanité rafraichissante... A lire ! C'est savoureux et ça donne envie d'agir !"

V. B., Marseille

"J'ai 57 ans et je suis atteint de sclérose en plaques. Le 3 juillet 2008, je vais à la grande bibliothèque nationale du Québec à Montréal. Je ne peux lire à l'écran de mon ordinateur et je n'ai rien à faire. Une soirée ennuyeuse en perspective. Je vais dans les nouveautés et je vois, bien en vue au troisième étage près des ascenseurs, le livre d’Henry Quinson, ‘Moine des cités’. Je le prends sans attendre grande chose. Assis sur une chaise au fond de la salle, j'ai un choc inimaginable. Joie, goût de prier et frissons, contrition et désir de me confesser, et plus. Ouais. Superbe. J'espère que les moines de Tamié vont survire et que la Fraternité Saint Paul va se développer."

G. V., Montréal

"'Moine des cités' est un récit transcendant, lumineux, fulgurant et prophétique... Je l'ai relu plusieurs fois et le fait lire autour de moi... La vocation d'Henry Quinson et de la Fraternité Saint Paul, vécue dans la joie, fait du bien car c'est dans la rencontre que l'on peut faire advenir l'Evangile."

J.-L. R., Rouen

"Après avoir lu 'Moine des cités' je me sens assez proche d'Henry Quinson parce qu'il a su faire si courageusement des ruptures vitales pour satisfaire les impératifs de sa conscience, fidèle au merveilleux témoignage libérateur de Jésus."

P. D. L. C., Villefranche-sur-Mer

"'Moine des cités' est un témoignage aux accents de vérité, d'humilité, de foi et de joie. Je remercie Henry Quinson pour ce 'pain frais' offert si gratuitement."

M. V., Sceaux

"Dans 'Moine des cités' on voit que Dieu a beaucoup 'travaillé' Henry Quinson. Face à la véritable ségrégation qui s'est accomplie depuis les années 1970, j'admire l'oeuvre d'éducation entreprise par la Fraternité Saint Paul auprès des enfants des cités en y intéressant des jeunes lycéens et étudiants d'autres milieux. Ce qui est primordial, c'est ce témoignage de foi et d'amitié, la reconnaissance de la dignité de ceux dont on partage la vie. Ils sont enfants de Dieu, eux aussi, et le Christ est présent. A nous de le découvrir dans la foi."

J. M., Marseille

"Après avoir lu 'Moine des cités', je veux dire ma joie profonde de savoir que la Fraternité Saint Paul existe. Sa proximité avec ses voisins respire l'évangile et... c'est très bon. J'apprécie beaucoup l'affection d'Henry Quinson pour les musulmans rencontrés à Marseille et en Algérie, moi qui ai souvent constaté une véritable méfiance à leur égard."

A. D., Toulouse

"J'ai trouvé 'Moine des cités' passionnant et en deux soirs ce livre était lu. Je suis heureuse pour Henry Quinson que son chemin soit devenu plus clair, même s'il n'est pas moins dur !"

B. C., La Garenne Colombes

"‘Moine des cités’ est un livre passionnant parce qu’Henry Quinson ouvre la porte de son être intime au lecteur dans son processus de décision en plusieurs étapes. Or ces étapes nous font entrer dans trois univers dont tout le monde parle sans les connaître : les salles des marchés de la finance planétaire, les monastères cloîtrés suivant la Règle de saint Benoît, et les cités HLM où vivent les familles étrangères les plus pauvres d’Europe. Peu de personnes au monde peuvent nous introduire dans ces microcosmes très fermés et nous faire vivre ces déménagements singuliers de l'intérieur."

J. D., Rennes

"Je viens de dévorer en quelques heures ‘Moine des cités’, cadeau d’une amie américaine de Los Angeles (!). Quel style ! Quelle belle écriture toute simple ! J’ai trouvé le parcours d’Henry Quinson passionnant. Après avoir lu ce livre, j'ai le sentiment de connaître l’auteur et je veux lui dire MERCI pour son  passionnant témoignage."

D. P., Marseille

"Je veux féliciter Henry Quinson pour son livre ‘Moine des Cités’. Lors d’un pèlerinage à Lourdes, j’ai trouvé cet ouvrage à la librairie du Sanctuaire. La couverture a attiré mon attention à cause des mots ‘Wall Street’ car j’ai fait un MBA à Harvard. Je l’ai offert à un prêtre qui travaille dans un quartier de Lisbonne semblable aux HLM marseillais. Après l’avoir lu, cet ami me l’a prêté. Je l’ai dévoré. Ce récit est très simple et très profond. Il donne une excellente idée du parcours intérieur de l’auteur et de la mission de la Fraternité Saint Paul auprès de ses voisins. Merci pour ce travail d’écriture si réussi !"

N. G., Lisbonne, Portugal

"Je viens de terminer 'Moine des Cités'. C'est un livre remarquable qui m'a  passionnée. Il est si rare de voir un parcours d'une telle richesse. Je voudrais dire combien le récit d'Henry Quinson m'a émue."

G. B., Paris

"J’ai lu et relu ‘Moine des cités’. Eh oui, deux fois de suite, pour ne rien perdre... et me régaler une deuxième fois !  J’ai souligné plein de choses et je termine en me disant qu’il faut que je reste en lien avec la Fraternité Saint Paul."

E. L., Hazebrouck

"J’ai lu et relu ‘Moine des cités’. C’est un livre qui devrait être lu par les prêtres au séminaire. Aujourd’hui, je suis déconcertée par la vie des chrétiens trop ‘évaporés’… Le livre d’Henry Quinson est réconfortant. Ses choix sont énergiques et précis. Sa foi profonde n’est dictée par aucun directeur de conscience religieux. De ses expériences il tire toujours quelque chose de neuf. Finalement il parvient à réaliser la Fraternité Saint Paul entrevue dans sa vision de 1989. Son parcours est le fruit d'une pensée qui n'est pas sans affinité avec celle du Cardinal Martini."

S. G., Milan

"Je viens de dévorer ‘Moine des cités’ en deux jours. Passionnant et poignant ! J’avais rencontré Henry Quinson à Pau lorsqu’il était venu présenter son livre sur Christophe Lebreton. J’avais été impressionné par ses qualités d’orateur et sa simplicité. J’ai découvert avec allégresse la Fraternité Saint Paul : Dieu appelle sans cesse à construire son royaume, tout particulièrement la paix entre les peuples et les cultures. Toutes les femmes et les hommes des cités HLM ont soif de Dieu, de respect et d’Amour."

G. C., Paris

"Plus que le blues du businessman, c’est la foi qui fait renoncer Henry Quinson à sa carrière de banquier : ‘Je dois tout abandonner pour mon Père.’ Cela force à réfléchir sur la consommation et le carriérisme. ‘Faites que le rêve dévore votre vie afin que la vie ne dévore pas votre rêve’, disait Saint-Exupéry. Henry Quinson a perçu un appel, dans la prière, l’invitant à enseigner aux enfants défavorisés de Marseille, et aujourd’hui il a réalisé son rêve. ‘Seigneur, fais que j’invente la voie que tu veux créer pour moi !’ est sans doute la plus énergique des prières. L’amitié naît des points communs, et les frères de Saint Paul ont su les créer grâce à la patience, l’hospitalité et l’entraide. Facile de résumer sur le papier ces dix ans de vie en cité HLM, mais sur le terrain cela représente 3650 jours d’investissement : c’est considérable ! ‘Ce que vous faites au plus petit, c’est à moi que vous le faites’, dit le Christ. C’est un beau précepte que l’on entend à l’église mais la Fraternité Saint Paul l’applique concrètement. Tout cet amour discret porte une espérance ténue dans un XXIe siècle dont les violences creusent les dissensions entre chrétiens et musulmans. Henry Quinson et ses frères témoignent que ces oppositions ne sont peut-être pas insurmontables si l’on prend tout simplement le temps d’être humain."

A. A., Marseille

"C’est avec bonheur que j’ai découvert ‘Moine des cités’ lors d’une retraite au Shantivanam ashram. Je n’ai jamais rencontré Henry Quinson mais ce livre est RENCONTRE. Je suis touché par cette démarche de fraternité et communie à la fragilité et à la vulnérabilité de l’amitié."

P. G., Thiruvannaamalai, Tamil Nadu, Inde

"L'itinéraire d'Henry Quinson est peu commun. Mais il est surtout aujourd’hui au cœur d’une fracture plus globale entre deux mondes, celui de l’argent facile et celui du partage d’autres types de richesses. Voilà pourquoi il faut lire 'Moine des cités'."

C. S., Paris

"Il me semble qu’il n’y a pas besoin d’une religion pour arriver là où Henry Quinson est arrivé : de Wall Street aux Quartiers Nord de Marseille. J’avoue cependant que ‘Moine des cités’ m’a fait ressentir la religion catholique comme LA solution sinon à tous les maux, du moins à beaucoup de ceux qui tendent à séparer la ‘communauté maghrébine’ du reste des populations dans les grandes villes françaises. Du coup, la tradition religieuse qui inspire la Fraternité Saint Paul en ressort grandie : son blason depuis longtemps terni est enfin redoré."

P. B., Cergy-Pontoise

"J’ai beaucoup apprécié le témoignage d’Henry Quinson, son énergie et sa sobriété. Exemple de franchise, de réflexion et de fraternité humaine. Oui, l’essentiel n’est-il pas surtout dans la proximité, le partage avec nos ‘frères’? Si nous ‘sommes’, efforçons-nous ‘d’être avec’ : aider dans les apprentissages, à l’éducation, porteuse de l’espérance pour demain."

M. M., Salon-de-Provence

"C’est bien qu’Henry Quinson soit présent dans nos librairies et nos medias, avec ce petit décalage qu’il apporte et par son parcours, et par les échos et témoignages apportés de ses voisins, qui invitent le lecteur et chacun devant son petit écran à s’interroger sur son propre parcours et son propre regard."

P.-L. V., Gap

"'Raconte pas ta vie !' Mais si ! Il a raison, Henry Quinson, de nous raconter dans ce livre très vivant et chaleureux ce qui l’a conduit d’une carrière de 'trader' à New York à une existence modeste dans une HLM de Marseille, où il mène avec quelques frères-moines une existence à la fois contemplative et proche des habitants du quartier.  'Moine des cités' raconte son cheminement et son étonnement à constater comment son désir de Dieu et son désir de proximité avec les gens tout simples ou marginaux l’a conduit dans ce drôle de monastère... Fascinant !"

S. R., Rouen

"Henry Quinson ne se plaint jamais. Dans un monde froid et sombre, il redonne espoir aux petits en vivant une fraternité concrète qui vient du Dieu d’amour qu’il a découvert. Son choix d’habiter en cité HLM ici en France rappelle que l’Eglise se préoccupe de l’Afrique et de l’Inde mais néglige ses banlieues, proies faciles de tous les obscurantismes. Tous mes encouragements à la Fraternité Saint Paul !"

N. F., Gueret

"Le témoignage d’Henry Quinson me conforte dans l'idée que la présence chrétienne en cité est un moyen concret et incarné d'éviter le fameux choc des civilisations qu'on prédit. Cela me frappe que çà se passe en France, comme si elle jouait son rôle de ‘fille aînée de l'Eglise’ de façon concrète en montrant la voie sur un point précis. En lisant ‘Moine des cités’ je suis rassuré par le fait qu’une vocation (pas forcément seulement au sens de choix d’état de vie, mais au sens d'être ‘à sa place’ dans l'Eglise) ne prend pas toujours des voies classiques et demande du temps et de la patience... Encore merci pour ce témoignage !"

R. de S., Paris

"En lisant ‘Moine des cités’, j’ai été impressionné par la vie que mène la Fraternité Saint Paul dans les quartiers nord de Marseille et la façon dont est conçue la foi par une présence auprès des plus démunis. Le parcours d’Henry Quinson, très atypique, m’a interpellé. Depuis quelques années, j’ai diminué mon temps de travail en obtenant un poste à mi-temps. J’aime l’idée de simplicité volontaire. Le temps dégagé me permet de réaliser mon rêve : travailler la terre en la préservant et offrir ses fruits à des urbains qui ne connaissent pas ces goûts et ces joies. J’ai décidé de donner du sens à ma vie. D’assumer ma responsabilité en tant qu’être humain. Mais donner du sens à une vie me semble indissociable d’une recherche de spiritualité. Je suis baptisé (catholique) mais j’ai rejeté avec véhémence jusqu’à il y a peu de temps l’idée même de l’existence d’un Dieu. Depuis plus d’un an, je discute, essaie de comprendre ce qui motive les croyants (catholiques, évangélistes, musulmans, bouddhistes). Et ma réflexion évolue : je crois que j’ai besoin d’inscrire mes projets dans une dimension universelle, de sentir la force d’une foi qui me guide et Jésus me paraît être l’exemple à suivre. Mais ma recherche se heurte toujours à ce que je qualifie d’obscurantisme : l’intolérance d’une croyance par rapport à une autre, la pression du groupe notamment à l’intérieur des Eglises, le prosélytisme d’une certaine conception de la foi, des actions caritatives menées avec pour principale intention l’évangélisation. Je ne me reconnais dans aucune des Eglises que j’ai eu l’occasion de fréquenter. J’ai besoin de liberté de penser et d’agir dans le respect de l’autre mais en suivant un idéal humaniste, comme Jésus l’a fait. J’aime l’idée de respect des croyances de l’autre même si je veux faire un choix clair qui me corresponde. C’est en découvrant la philosophie de vie d’Henry Quinson que j’y ai retrouvé en grande partie ma quête ; un écho à ce que je cherche. Une action en direction du prochain dénuée de réciprocité. Je voudrais faire le bien sans attendre de récompense. ‘Moine des cités’ m'a réconcilié avec Dieu."

A. B., Nice

"Je termine la lecture de 'Moine des cités' dans l'enthousiasme. Il me semble y avoir trouvé toutes les réponses aux principales questions que je me posais ; aux inquiétudes que j'avais. J'ai l'image d'un puzzle dont Henry Quinson m'aurait aidé à rassembler les fragments. Je pense qu'il m'a convaincu et conforté dans ma recherche de spiritualité à travers Dieu et sur les traces de la vie de Jésus. J'ai l'impression qu'un horizon nouveau m'apparaît, que mon chemin s'éclaircit."

B. R., Carpentras

"Je viens de lire, ou plutôt de dévorer, ‘Moine des Cités’. J’en ressors bouleversé. J’ai sensiblement le même âge qu’Henry Quinson et j’ai suivi un parcours de vie presque inverse au sien : vie en cité HLM jusqu’à 24 ans, fondation d’une famille, carrière professionnelle et politique à Marseille. Pris dans la tourmente de la société moderne, je ne peux pas pour autant dire que je suis totalement épanoui et heureux. En refermant ce livre, j’ai envie de discuter à bâtons rompus avec l’auteur et saluer l’ensemble de la Fraternité Saint Paul."

Y. Z, Marseille

"J’ai préparé la veillée de Noël avec la lecture de ‘Moine des cités’, acheté par hasard à La Procure. Je voulais juste remercier Henry Quinson et lui dire que c’est un réel espoir pour ceux qui, engagés dans une vie professionnelle, cherche à vivre leur foi dans la prière, le don aux autres et une forme de vie communautaire pas si facile à trouver. ‘Moine des cités’ m’a stimulé sur mon chemin de questionnements. Merci pour cette lueur d’espérance !"

M.-C. E, Paris

"J’ai reçu le livre d’Henry Quinson le jour de Noël : quel bonheur de pouvoir lire ce que l’on ressent sans pouvoir l’exprimer aussi bien ! J’ai beaucoup apprécié toute la recherche de discernement dans la première partie : beaucoup de questions essentielles que je me suis posée moi-même. J’ai apprécié aussi l’expérience d’Henry Quinson à Tamié et ses questionnements. Les éclairages sur l’échange avec les habitants des banlieues sont très, très importants et plein d’espérance. Merci pour ce témoignage de Vie !"

R. B., Beaujeu

"J'ai fait la connaissance d’Henry Quinson en regardant les nouvelles un matin sur BFM TV. Habitant moi-même une banlieue où vivent de nombreuses familles immigrées et cohabitent des dizaines de nationalités différentes, je dis merci pour ce témoignage de fraternité qu'est ‘Moine des cités’. C’est une leçon d'optimisme, pleine de  lumière et de  foi en l'homme. J'ai toujours su (à mon humble niveau) qu'un sourire ou une parole adressée à un voisin étranger ou à un enfant immigré étaient ‘aider la forêt à pousser !’ Ce livre me donne encore plus la certitude qu'il faut SE PARLER !! Merci aussi d’aider à ne pas oublier de vivre notre foi en Jésus Christ à chaque instant, et de prendre le temps de la prière. Je vais prêter ce livre à des amis dans l'espoir de leur apporter aussi l'ENVIE DE S'UNIR pour faire avancer le Monde et de faire reculer la haine et la peur de l'Autre."

E. L., Cergy-Pontoise

"Un témoignage plein d’enthousiasme et d’espérance. Un livre très agréable à lire où se mêlent spiritualité et humour, et qui nous interroge sur la présence de l’Eglise aujourd’hui dans les quartiers."

C. S., Sens

"J'ai dévoré 'Moine des cités'. Félicitations à Henry Quinson pour son exemple. Dans une société où l'égoïsme et le repli sur soi sont monnaie courante, il est encourageant de savoir que les membres de la Fraternité Saint Paul refusent ce schéma."

J.-C. M., Périgueux

"Il peut paraître éprouvant d'aller à contre courant comme le fait Henry Quinson, mais oh combien satisfaisant, réconfortant et réjouissant d'exprimer ce que l'on est profondément ! ‘Moine des cités’, c’est des ‘petits messages’, de ‘petites rencontres’, qui finissent par devenir plus nombreux, qui fédèrent, unissent, réveillent, révèlent. Les moines de Tibhirine, qu’a connu Henry Quinson, ont été tués pour des valeurs, pour un engagement. Ils étaient, eux aussi, à contre courant. Ils représentaient une Eglise si tristement absente à l'heure grave d'aujourd'hui, elle qui devrait accompagner, elle qui devrait faire le lien, la grande sœur ! Elle qui se veut forte de son histoire ne doit pas dresser des barricades et doit lutter contre les amalgames ! Elle doit défendre le petit, recevoir et assumer cette mission ! Henry Quinson est ce lien. Il vit, il ressent au quotidien le manque, le vide,  le besoin d'aller vers l'autre, de ces gens qui l'entourent. Quelque part, il est leur porte et leur roue de secours... De plus, il a eu la preuve en direct que les milliards de dollars des marchés financiers peuvent se volatiliser en quelques jours. Alors que l’amour des autres, c’est trop beau pour être coté en bourse."

A. C., Chambéry

"Je viens de terminer le livre ‘Moine des Cités’ et mes premiers mots seront pour dire merci à l’auteur. Ce témoignage est d'une grande clarté évangélique au travers d'un cheminement qui est loin d'être banal. Je suis d'une génération marquée par la présentation d'un Dieu inaccessible même en continuant, dans la tradition familiale, à pratiquer chaque dimanche et plus. Je découvre, grâce à Henry Quinson qu'il est possible sinon recommandé de s'adresser à Dieu en lui disant simplement : ‘Dieu je vous aime’, en attendant encore de le tutoyer... Ma prière, de ce fait, va prendre une autre dimension. Tout devient plus simple. Encore merci. Je souhaite à Henry Quinson de continuer à vivre sa belle expérience au service de tous ceux qui ont tellement besoin de cette FRATERNITE."

C. S., Flers

"Je viens de terminer la lecture de ‘Moine des cités’. J’ai beaucoup apprécié ce livre. Pourquoi ? Sur la forme, sa lecture est facile : le vocabulaire est accessible, sans mots techniques compliqués. Sur le fond, c’est un message plein d'espérance. Pour moi, Henry Quinson a eu raison d'écrire ce livre. Nous en avons besoin aujourd’hui."

M. L., Avrillé

"Je viens de lire le livre ‘Moine des Cités’ offert par un de mes amis. La Fraternité Saint Paul me fait penser aux jeunes chrétiens qui aidaient leurs frères des banlieues déshéritées dans les années 1930/1950 dans la petite couronne parisienne. Mon père habitait Bagnolet à cette époque où fleurissaient misère et ignorance (bidonvilles…). Des jeunes (tel Paul Delouvrier, futur responsable du Plan et ministre du Général De Gaulle) sont venus et ont transformé la vie d’autres jeunes. C’est grâce à des gens comme Henry Quinson que j’ai pu faire des études supérieures (ESSEC) et avoir une bonne position dans la Banque. Je n’ai jamais oublié que le devoir dans la vie, et notamment pour un chrétien, est que celui qui a reçu plus doit partager avec celui qui a reçu moins. Et le partage ne doit pas n’être que l’aumône, ce qui est, somme toute, le plus facile. Tel a été le fil conducteur de ma vie. Encore merci.

D. C., Paris

"J'ai lu avec un immense intérêt 'Moine des Cités'. J'ai trouvé qu'Henry Quinson avait une grande connaissance des différents mouvements caritatifs existants et un regard clair et sans concessions. La Fraternité Saint Paul est mue par l'Esprit saint : elle ne fait seulemnt "du social". Merci pour ce témoignage d'une vie chrétienne en cité qui sauve aussi les jeunes 'bourges' coupés de Dieu qui dépérissent comme privés de sève."

C. L., Paris

"Henry Quinson est une caricature : le beau mec riche venu des USA devenu moine dans une cité HLM avec des gens pauvres. Les caricatures, ça grossit les traits, ça démasque les mensonges, les absurdités et les injustices. Le choix de l’ancien golden boy nous oblige à examiner nos propres priorités. Ce livre, ‘Moine des cités’, arrive à point nommé : il démontre concrètement que l’on est pas obligé d’attendre la crise pour que l'Argent soit remplacé par l'AMOUR UNIVERSEL. Bravo et merci !"

N. P., Montpellier

"Pour Noël je me suis fait offrir ‘Moine des cités’. J'ai beaucoup apprécié la description qu’Henry Quinson fait de son parcours. On sent qu’il en est heureux et il décrit les étapes avec sobriété. Je suis très content de voir comment au fil des années il a su concrétiser une aspiration qui le poussait en avant. J'ai été témoin des commencements et aujourd'hui ce qu’il fait exister avec Karim et d'autres est un signe pour toute l'Eglise de Marseille. Merci pour ce livre !"

R. P., Marseille

"‘Moine des cités’ est un livre est lumineux. Je comprends à nouveau que Dieu n'est pas assis sur son nuage, mais qu'il est là, tout près de nous. Il a soufflé à Henry Quinson une évidence (pas facile à réaliser ni à mettre en œuvre) : vivre pauvre parmi les pauvres, apprendre à se connaître. On ne tape plus sur Ahmed ou Jean-Charles si on sait qui il est. J'ai aimé qu’Henry Quinson refuse un poste de confiance dans un lycée de 1500 élèves pour rester dans sa cité. Chapeau ! Et je sens que tout cela est vrai, ce n'est pas du pipeau. J'ai refermé  ce livre en me demandant "Mais qu'est-que je peux faire ? J’ai envie de vivre dans l’Esprit de la Fraternité Saint Paul, œuvre magnifique et pleine d'espoir."

S. L., Orléans

"L'ouvrage d'Henry Quinson me touche en plein coeur et c'est un trop plein que je ne peux exprimer en une seule fois. Merci à Dieu pour une fois de s'incarner, visiblement, chez un homme riche et prospère à qui tout réussit car les apparitions miraculeuses n'étaient adressées qu'aux plus pauvres jusqu'à lors et l'adhésion à l'amour divin et universel n'én était pas toujours facilitée dans 'certains milieux'. Bravo pour cette audace, ce courage et cette endurance aussi !"

F. R., Paris

"‘Moine des cités’ m'a enchanté et ce petit message est juste un soutien et un encouragement au choix de vie d’Henry Quinson et de sa communauté, qui est vraiment l'expression concrète du message de Jésus Christ, qui par certains côté me fait toujours envie ... Que sa Paix et son Amour continuent à irriguer et à enrichir de le voisinage de la Fraternité Saint Paul !"

B. V., Paris

"Henry Quinson passe aussi bien à l'oral qu'à l'écrit. Son livre autobiographique 'Moine des cités' est d'une simplicité désarmante. Ses inteviews, notamment son passage chez Mireille Dumas, respirent le même naturel surnaturel. J’ai vu dans son regard et sa façon de parler tellement de justesse, de délicatesse, de dynamisme et de rayonnement spirituel ! Henry Quinson peut apporter beaucoup de bonnes choses à tous ceux qui cherchent et qui ne trouvent pas ou se trompent de 'correspondant' (comme dit Michel Quoist)."

J. W., Bruxelles

"Ma femme a eu une idée de génie en m'offrant l’ouvrage d’Henry Quinson pour Noël. J’ai donc savouré ‘Moine des cités’. Quel plaisir ! Plein d'humour, facile à lire et captivant. Ancien banquier moi-même, j’admire Henry Quinson parce qu’il a eu le courage de faire parler son cœur. Et sa ferveur pour défendre et aider ces Marseillais les plus démunis, sans distinction de race ou de religion, reste un exemple pour nous tous. La foi d’Henry Quinson est communicative. Je recommande ce livre désormais autour de moi. Henry Quinson mérite très certainement le prix du trader le plus sincère et authentique !"

O. B., Vieillevigne

"La finale de l’émission de Mireille Dumas ‘Vie privée vie publique’ le 12 janvier 2009 fut saisissante. Entre le récit d’Henry Quinson dont le tournant était lié à un sentiment d’être ‘frustré’ par une vie de ‘golden boy’ sympathique et comblé, et celui de Pierre Botton, qui avouait, lui, avoir découvert difficilement son aliénation à la 'réussite sociale' et, après son retour à l’humanité commune, confessait son ‘sentiment d’être creux’ (geste à l’appui), on se croyait près d’assister à une conversion en direct ! ‘Moine des cités’, c’est ça : un témoignage qui fait prendre conscience d’un vide et invite à rencontrer Celui qui seul peut combler le cœur de l’homme."

M.-L. G., Paris

"Henry Quinson a le don d’exprimer simplement, fraternellement, ce qui lui vient de Dieu. Certains chrétiens refusent de témoigner publiquement, mais si les gens qui écoutent vont à Dieu, pourquoi se taire ? Il  y a tant de gens qui attendent qu’on leur parle un autre langage que celui de l’argent et de la consommation ! Les gens ne sont pas méchants, ils ne sont pas non plus contre le ‘christianisme’, à l’égard duquel ils gardent une confiance refoulée, et peut-être quelque nostalgie, sans occasion de se manifester ou de se manifester ‘autrement’.  Et ils ont plein d’images qui les désorientent. Il est vrai que le récit personnel d’Henry Quinson ne peut leur suffire, il peut même parfois décourager, par son côté exceptionnel, mais le ton est presque tout et ‘Moine des cités’ invite chacun à un chemin de vérité face à Dieu et à soi-même. Dire qu’un chemin est possible est déjà, s’ils sont touchés, une bonne nouvelle. Il y a tant de ‘muets’ ou de ‘muettes’ parmi les chrétiens... Religieuses dévouées jusqu’à la corde et muettes sur le fond, croyant qu’avoir une pensée personnelle c’est ‘intellectuel’ donc proscrit, ou n’ayant que des mots  convenus, ou empruntés. Merci pour ce témoignage qui met en mouvement !"

H. T., Montpellier

"Après avoir écouté Henry Quinson sur RCF puis chez Mireille Dumas j’ai eu envie d’acheter son livre pour l’offrir à mon fils de 36 ans : franco-américain, grande école, banquier et... en réflexion autour du baptême ! Je suis moi-même une ‘recommençante’. Avant de lui offrir, j’ai voulu le parcourir… et je ne l’ai pas lâché ! Je viens de le finir, si l’on peut dire, car je sens qu’il va m’habiter longtemps ! J’avais quitté une Eglise figée dans ses certitudes, et j’ai retrouvé une vraie communauté, moins nombreuse certes, mais tellement plus aimante, plus humble : je m’y sens bien ! Votre témoignage illustre parfaitement des intuitions que je ne savais pas mettre en mots : sous votre plume tout s’éclaire ! Le dernier livre qui m’avait à ce point enthousiasmée, curieusement, Henry Quinson le cite : c’est celui d’Etty Hillesum ! La seule façon d’exprimer ma reconnaissance est d’assurer la Fraternité Saint Paul de ma prière (je recopie l’hymne de l’épilogue). Cette Eglise renouvelée est vraiment le levain dans la pâte, petite lumière qui en propage d’innombrables. MERCI, MERCI, MERCI, MERCI !"

E. S., Paris

"J'ai été très touchée de partager le cheminement d’Henry Quinson dans ‘Moine des cités’ : intuitions, doutes, convictions, hésitations, écoute vraie et profonde de ses besoins (taille du lit à l'abbaye, besoin de sommeil) tout autant que de son appel (pour Dieu, auprès d'enfants musulmans, grâce à l'enseignement). Quel bonheur de partager cet amour de Dieu et de l’humanité de manière si incarnée ! Quel bonheur également de voir l’Eglise si vivante chercher comment aujourd'hui répondre à l'appel de Dieu, répondre à la vocation particulière de chacun (je pense notamment à cette intuition qu'est le monachisme, que je ne connaissais pas). Quelle joie de voir chacun (du Père Barral à Enzo Bianchi en passant par les amis, les frères de Tamié, les petites sœurs de Marseille et tous les autres rencontrés sur le chemin de la vie) essayer d'être de petites aides au discernement, chacun à sa manière ! Quel bonheur de s'appuyer sans cesse sur la Parole de Dieu et quelques citations de témoins de la Foi ! Si l'on voulait ajouter un sous-titre (un peu long) à ‘Moine des Cités’, il me semble que l'on pourrait s'inspirer de l'expression de Madeleine Delbrêl en disant : ‘un exemple de cette Vie croissante que l'on est chacun appelé à co-créer’."

B. M., Vannes

"'Moine des cités' est un beau témoignage d'une expérience hors du commun, ainsi qu'une preuve de la fraternité qui peut exister entre les personnes malgré leurs différences apparentes. Il s'appuie sur une solide réflexion spirituelle très enrichissante pour le lecteur, qu'il soit croyant ou non. A lire absolument!"

S. A., Marseille

"J'avais lu quelques jours avant  l'émission de Mireille Dumas  un article sur Henry Quinson dans le journal ‘Ouest France’.  Il m'avait laissée perplexe. L’histoire de ce trader devenu moine me semblait un peu à l'eau de rose, et le folklore monastique m'agace. Mais la liberté de parole d’Henry Quinson lors de l'émission ‘Vie privée, vie publique’ m'a laissée sans voix. J'ai profondément apprécié ses répliques sur le célibat, son choix de vie remis en question, sa conversion, ses doutes... Je souhaiterais que les prêtres diocésains qui sont souvent en souffrance aient la possibilité d'exprimer leur vécu sur le célibat en toute vérité en non sous forme de blagues grivoises. ‘Moine des cités’ me réconcilie un peu avec l'Eglise. Ce témoignage  porte à la fois l'Espérance de la résurrection et nos questions d’aujourd’hui. J'ai ressenti cela très fort et cela rejoint ma foi profonde. Merci encore à Henry Quinson et longue vie à la Fraternité Saint Paul !"

B. P., Brest

"‘Moine des cités’ m'a été offert pour Noël, et m'a vraiment passionné. Et je l’ai  prêté à plusieurs amis. ça vaut la peine de  faire partager ce chemin, l’étape de recherche à Tamié, puis l’installation à la cité St-Paul, puis tout ce vécu, ce partage; cet accompagnement et cette insertion à Marseille. Ce vécu, si riche d'humain, témoigne que l’intuition, ou l’appel, d’Henry Quinson était juste. D'abord le souci de vivre cette dimension de Jésus venu vivre parmi les hommes, pour y incarner la présence et l'amour de Dieu, par une communauté monastique. Ensuite, le choix de la ‘banlieue’, dont Henry Quinson analyse bien les risques de ruptures par rapport à notre société. J'aime bien la façon dont l’auteur vit et décrit les choses, sans angélisme et sans condescendance, mais avec les exigences qui construisent un respect mutuel. Par exemple, le fait de ne pas avoir simplement passé l'éponge  quand la sonnette de porte a été arrachée, mais décidé de faire une pause dans l’accueil des jeunes pour les parties de scrabble tant que le problème n'était pas résolu.  J'apprécie le discernement  qui sait  concilier  une grande fidélité à l'Evangile et  un bon usage de l'intelligence. Merci pour toutes ces tranches de vie qui illustrent bien différents aspects de la présence en profondeur avec des adultes, des enfants et des jeunes, tous ces liens tissés qui sont comme des ponts entre des mondes différents qui trop souvent s'ignorent ou se méconnaissent. Je trouve ce  nouveau monachisme en banlieue particulièrement pertinent parce qu’il incarne une vie priante là où il y a de grands besoins humains et spirituels.  Merci à la Fraternité St Paul pour tout ce qu’elle apporte à notre société : contacts musulmans-chrétiens, présence, accompagnement solaire, etc.  Merci pour le renouveau de l’Eglise."

E. C., Lyon

"J’ai entendu le témoignage d’Henry Quinson dans l'émission de Mireille Dumas ‘Vie privée, vie publique’ et j'ai eu envie de lire son livre. Je ne  regrette pas d'avoir continué à ‘partager’ ce parcours original.  J'ignorai totalement que des communautés de moines existaient au sein des cités en France. Ce n'est pas tant le passage de Wall Street aux Quartiers Nord qui est, de mon point de vue, le plus intéressant. C'est le mystère de cette vocation singulière et les ‘galères’ rencontrées, associé à la ‘certitude’ d'enseigner à des enfants des quartiers dits ‘difficiles’ à Marseille. J’ai apprécié la sincérité d’Henry Quinson et son regard sur la vie monastique traditionnelle. Ce que j'aime pardessus tout à Marseille, c'est la diversité de sa Lumière... venant du Sud et du Nord de la Méditerranée. ‘Moine des cités’ m'a permis de m'en nourrir pendant un instant. Merci !"

F.  M., Marseille

"Je viens de terminer ‘Moines des cités’. Expérience à contre courant mais importante, belle exemplarité qui fait tant défaut de nos jours. Courageuse initiative personnel au service du collectif et surtout des plus démunis. La Fraternité Saint Paul s’inscrit dans une démarche de ‘développement durable urbain’ en traitant le plus difficile : le volet social de cette démarche trop souvent voué à l’environnement et à l’économie. ‘L’homme le plus heureux est celui qui fait le bonheur d’un plus grand nombre d’autres’, disait Diderot. Bravo, Henry Quinson, et surtout gardez votre liberté et votre indépendance… comme Raymond Barre !"

M. G., Lille

"‘Moine des cités’ est un merveilleux témoignage qui nous donne une autre idée de notre Eglise, avec tout ce qui se fait dans notre société sans bruit mais avec tant d’amour... Merci pour cet ouvrage réconfortant. Oui, le Bien ne fait pas de bruit..."

L. B., Rennes

"Je viens de terminer ‘Moine des cités’ et j’en recommence la lecture ! Merci à Henry Quinson pour tout ce que j’ai trouvé dans ce récit, tout ce que j’avais pu ressentir et qu’il exprime si bien : le choix rationnel selon Raymond Aron, le Dieu aussi ‘très bas’ et puis le regard porté sur Bandula, cet ami en fauteuil roulant qui nous sauve par ce qu’il est, la tragédie de l’Eglise qui donne aux pauvres mais ne vit pas assez avec eux, l’asymétrie de la précarité entre les possédants et les smicards… Je suis en fauteuil roulant depuis 30 ans, tétraplégique à la suite d’un plongeon ‘raté’ en piscine quand j’en avais 25. Je n’ai rien choisi, tout m’est tombé dessus, l’ascèse, la chasteté, etc. Le contraire d’Henry Quinson, et même si ses décisions n’ont sûrement pas été faciles à prendre, je suis fascinée par le fait qu’elles ne lui ont pas été imposées. Il a su faire le choix : il a démissionné et renoncé à une carrière que la terre entière pouvait lui envier. Et puis sa recherche incessante et ses combats pour trouver ce qu’il ressentait depuis toujours. Je suis à un moment de la vie où j’avais l’impression d’être en panne. Je me suis remise à prier les psaumes, ce que je n’avais jamais réussi à faire avant. ‘Moine des cités’ a levé quelques inquiétudes et rouvert un chemin. Merci encore pour ce témoignage."

C. B., Paris

"‘Moine des Cités’, voilà un titre accrocheur. Je cherchais désespérément un livre pour passer le temps dans l'avion et la sélection de la boutique d'aéroport était d'une pauvreté affligeante. ‘Moine des Cités’ peut-être? Non merci. La couverture évoque une vie contemporaine qui n'inspire pas vraiment à l'optimisme, et personnellement je suis plus porté sur l'histoire des siècles passés. Quoi d'autre? Mon regard se porte à nouveau sur la pile des ‘Moine des Cités’. Ce titre frise le paradoxe. Qui irait donc chercher un moine dans une cité de banlieue? Attention ! L'auteur aurait-il quelque chose de neuf à dire? Pour satisfaire ma curiosité, je suis prêt à tout. Je n'ai pas été déçu. L'auteur écrit bien et son témoignage se lit d'une traite brûlante. Mais quel pouvait être son but? Se vanter tout en remportant un succès de librairie? Ai-je affaire à un PDG qui se sait inimitable ou à un homme politique qui se veut adorable? Franchement ce genre d'auteurs ne parleront des cités en connaissance de cause qu'après les avoir quittées pour de bon. Alors que veut me dire ce livre? C'est d'abord une terrible leçon d'humilité pour tous ceux qui veulent faire le bien, en leur nom propre ou au service de la société. Pouvoir ou argent leur permettent d'agir, mais rien ne vaut de partager la vie quotidienne de ceux qu'on aime. Car ce don seul est réciproque, ce don seul est libre. La contrainte ne peut l'exiger, il aide sans obliger. C'est aussi un appel à l'aide lancé à tous ceux qui se reconnaîtront dans la règle de vie qu'il propose. Méfions nous ! L'auteur n'en a pas après notre argent, ni notre vote. Il n'a que faire de notre admiration. Mais il y a tant d'autres cités où il n'est pas et où il nous incite à partir l'imiter malgré nos propres limites. N'est-ce point aussi une leçon d'histoire? Si Benoît, Bernard, Dominique nous paraissent étrangers, c'est que notre époque n'a que faire des saints. Il admire les entrepreneurs. Ce livre nous montre qu'en l'occurrence, c'est la même chose. Un moine qui fonde une communauté, c'est quelqu'un qui ne se satisfait pas de l'ordre existant, trouve un besoin non satisfait et parvient à développer une offre qui lui réponde. Thérèse d'Avila suffira pour rétablir l'équilibre des sexes. En esprit, le monachisme moderne ne date pas d'aujourd'hui. L'offre passée n'est pas dépassée mais elle ne suffit plus. Elle ne l'a jamais fait. Vive les nouveaux entrepreneurs!"

P. C., Tewksbury MA, USA

"Ouf ! Le livre d'Henry Quinson est une bouffée d'oxygène en ces temps où les dentelles et les génuflexions semblent être la panacée pour aller vers... les pauvres ! Merci de nous montrer que l'Eglise est présente dans ces quartiers défavorisés et que la prière y est vivante. Bonne route à la Fraternité Saint Paul !"

J.-P. D., Blois

"La découverte du livre d’Henry Quinson fut comme une pierre dans ma petite mare. ‘Moine des cités’ : dès que je l'ai vu, j'ai su qu'il me fallait l'acheter. Et je suis tombé des nues, non pas en découvrant le style de vie de la Fraternité Saint Paul, mais parce que cette idée me poursuivait depuis pas mal de temps, et que j'essayai vainement de la refouler. Moine dans la ville, ça ne peut exister... Les moines cela vit dans les monastères. Une illumination soudaine était ma conclusion. D'autant plus que vivre auprès de frères musulmans me projette en arrière. Né en 1952 à Alger, j'ai vécu la guerre d'Algérie. J'en suis parti un an après l'indépendance. 1996 : massacre de Tibhirine. La radio s'en fait l'écho. 2007 : retraite à Tamié. Là, les moines-martyrs me rattrapent. Je connais leur visage. Deux sont de Tamié. ‘Ce que Dieu, dans sa miséricorde, ouvre aux hommes de ses bienfaits, nul ne saurait le renfermer… Il est le puissant, le sage’, affirme le Coran dans la sourate XXXV. Union de prière."

M. W., Clermont-Ferrand

"Je viens de lire 'Moine des cités'. C'est le plus beau récit d'aventure que j'ai lu. Le plus beau témoignage de Force, de Courage et d'Amour. Le plus beau des messages : 'Ouvrez votre porte au Christ'...'Au-delà de tout espoir, qui te relèvera ?' Merci à Henry Quinson."

L.-H. B., Paris

"‘Moine des cités’ est un livre passionnant. Il est source de réconfort dans la tourmente que vit l’Eglise actuellement. Beaucoup de chrétiens ne veulent pas retourner en arrière car le Concile Vatican II est une avancée libérante enracinée dans l’Evangile. Merci pour ce témoignage qui soutient les chrétiens engagés secoués par des vents contraires. Au-delà des polémiques subalternes, Henry Quinson trace un chemin d’avenir."

P. L., Lille

"J’ai découvert à travers ‘Moine des cités’ une fraternité qui fait chaud au cœur. Merci pour cette présence ‘témoignante’ au cœur de la cité ! Puisse la Fraternité Saint Paul continuer ainsi, car même des années plus tard la petite fleur de l’espérance peut éclore : j’en témoigne !"

T. B., Brest

"Je ne peux m’empêcher d’exprimer mon bonheur après la lecture de ‘Moine des cités’. Merci pour cette énorme évolution vers la spiritualité ! Le livre d’Henry Quinson a été pour moi comme un grand bol d’oxygène. Cette réflexion m’a comblée : ‘Avec Jésus, le Dieu des armées devient le Dieu désarmé.’ Henry Quinson n’hésite pas à écrire que ‘la pratique religieuse, privée de réflexion, est aussi dangereuse que la science livrée à elle-même.’ Oh combien ! C’est malheureusement ce qui a été enseigné à bien des générations ! Pour moi, la foi n’est pas une croyance mais une expérience. Henry Quinson a découvert que ‘l’humanité a suivi des étapes de développement similaires à celles de tout individu’. Cela nous laisse une grande espérance, car après l’adolescence  vient l’âge adulte. ‘Moine des cités’ nous fait grandir en humanité."

M.-P. M., Maisons-Alfort

"Après relecture de 'Moine des cités' (qui m'a été offert par une personne qui se dit athée) j'éprouve le besoin de 'parler'. Le parcours d'Henry Quinson fait écho et résonne tellement fort en moi que j'en suis émerveillée. A l'intérieur de moi il y a une très grande part de cette Vie mais je ne sais pas utiliser les dons qui me sont offerts pour les autres. Les sept piliers de la Fraternité Saint Paul sont devenus pour moi une source d'inspiration."

F. D., St-Jacques de la Lande

"Ecouter Henry Quinson est un bonheur. Lire ‘Moine des cités’ invite à dire merci. Le fait qu’Henry Quinson ait répondu positivement à l’appel de Dieu oxygène plusieurs générations. Si un aquarium n’a plus sa pompe, les poissons y meurent… Henry Quinson ne peut imaginer ce que la vérité de son témoignage a de force et d’impact dans nos vies. J’ai envoyé un compte rendu de la rencontre de Saint-Nazaire (qui a réuni plus de 850 personnes) à mon cercle d’amis, engagés ou loin de l’Eglise. Henry Quinson ne s’est pas contenté, comme beaucoup, d’une obéissance timorée, mais à force de courage il est parvenu à l’accomplissement d’une œuvre, comme Jésus l’a demandé à ses disciples. Son œcuménisme est une mayonnaise réussie. Il est un catalyseur. Son humanité est à l’image de son sourire : comme un essuie-glace, il n’arrête pas la pluie mais il permet d’avancer."

M. N., Saint-Nazaire

"En ces temps de morosité, les gens qui ont du ‘peps’ se font rares. En Eglise, on rencontre plus de gens fatigués que de toniques. Henry Quinson fait exception. ‘Moine des cités’ m’a donné une joie très spéciale : celle de la rencontre d’une ancienne séductrice (qui a fait son temps !) avec un ex golden boy qui a trouvé la vraie Vie. Une bouffée d’oxygène !"

E. N., Bourbach-le-Haut

"Dans ‘Moine des Cités’ j'ai trouvé de quoi conforter ma propre vocation. Je communie profondément à ce que vit la Fraternité Saint Paul. Le célibat consacré, la prière personnelle et communautaire, l'habitat simple, le travail (mais pas toujours à temps partiel), l'accueil, la participation à la vie paroissiale... Et surtout cette reconnaissance du Christ dans les personnes rencontrées. Merci."

R.L., Créteil

"‘Moine des Cités’ est un livre  magnifique de vérité. A l’âge de 20 ans, ma fille s'est défenestrée à la suite d'une histoire d'amour avec un Algérien. Depuis cette date, je refusais tout contact avec des maghrébins. Mais en 2006 j'ai fait un voyage en Tunisie. Dieu a guidé mes pas vers des amis de religion musulmane. Il m'a montré le chemin de la libération et du pardon. Merci pour ce témoignage de fraternité après l’assassinat de vos frères de Tibhirine."

Y. M., Blois

"Je me sens bien petite après la lecture de ‘Moine des cités’, mais merci pour ce témoignage ! Merci aussi  pour le sourire rayonnant affiché sur la couverture et les photos ! Quel courage d'avoir écouté cet appel à changer radicalement de vie ! Je suis touchée quand je vois la volonté, le souci, d’Henry Quinson de mettre en pratique l'enseignement du Christ, cette bienveillance et cet Amour dispensés au quotidien. Ce livre m'encourage à ‘grandir’, il  donne à ma vie spirituelle une espèce d'élan nouveau qui, je l'espère, se concrétisera dans ma vie de chaque jour. Je prie pour que le Ciel garantisse force et joie à la Fraternité Saint Paul et pour que la forêt continue à pousser."

E. G., Bordeaux

"Henry Quinson est un religieux comme je les aime. Immergé dans la pâte humaine, comme le Christ, en son temps, dans l'humanité. Il y en a quelques autres comme lui : on aimerait qu'on nous en parle plus souvent !"

L. L., Besançon

"‘Moine des cités’. Je termine cet ‘accouchement différé’, seul à table. Déjeuner dans un hôtel newyorkais. Je pose le livre et pleure, pleure comme je ne l’ai plus fait depuis longtemps. Qu’importe les gens alentours ! C’est à l’intérieur que cela se passe. Je me suis enfin re-lié à ma vie spirituelle. La crise balaie tout. Cadre à succès dans une banque à la dérive, j’admire Henry Quinson pour ce choix fait à temps, et ce courage qui me manque. Puisse Dieu venir à mon secours !"

X. W., New York

"J’ai vu Henry Quinson dans l’émission de Mireille Dumas, ‘Vie privée, vie publique’, dont je ne suis pas un inconditionnel, la trouvant parfois tapageuse et voyeuriste. Mais Henry Quinson a répondu aux questions les plus dérangeantes avec une simplicité et une honnêteté admirables. Cet ancien financier international qui a fondé une fraternité monastique ne cité HLM n'est-il pas le prophète du temps présent ? Ce temps où l’argent roi domine et opprime le monde, y causant les ravages économiques, sociaux, humains que l’on connaît actuellement ? Il a préféré servir Dieu plutôt que l’argent. Combien d’hommes aujourd’hui sont-ils capables de suivre son exemple ?"

R. G., Servance

"Merci à Henry Quinson d’avoir écrit ce livre si prenant. Merci pour son témoignage de foi. J’ai fait sa connaissance dans l’émission de Mireille Dumas. Que de sérénité dans ses paroles, sur son visage ! Intriguée par ce parcours si singulier, je me suis empressée d’acheter ‘Moine des cités’. J’ai avalé ce livre en deux soirées. Henry Quinson a réalisé son rêve : aller s’installer à Marseille, dans une cité, être au service des plus pauvres. J’ai été très touchée de ce choix de vie. Celui-ci a été semé d’embuches, mais avec son érudition et sa conviction, Henry Quinson est arrivé à fonder, avec Karim, cette Fraternité Saint Paul. Les jeunes du quartier ont bien de la chance ! Je prie que dans les années à venir de telles petites communautés s’implantent dans nos quartiers populaires."

H. R., Villeurbanne

"J’ai lu ‘Moine des Cités’ en un rien de temps. La vie d’Henry Quinson est palpitante et son style efficace et drôle. Son courage dans les prises de décisions et la persévérance dans leur réalisation suscitent mon admiration. Je ressens cet engagement comme celui d’un homme qui a su trouver Dieu dans son cœur et dans celui des autres. Qu’il est pourtant difficile d’exhaler la fraîcheur de la rosée et la chaleur du feu qui habitent en nous ! ‘Moine des cités’ y parvient avec simplicité et bonheur."

A. X., Le Caire

"Je me suis imprégnée du livre d’Henry Quinson dès qu'il est sorti. En effet, je suis une technicienne de banque. Bien avant l'affaire de mon collègue Jérôme Kerviel, vu le climat délétère, la négation de l'épanouissement de l'être humain par le travail, remplacé par le ‘casino’ de la Bourse, je pensais que nous allions faire sauter la planète. ‘Moine des cités’ est arrivé à point nommé ! Mon mari et moi, nous sommes des Français à revenus très modestes : ‘la crise’ n'est pas un problème, car nous avons toujours fait attention. Mais nos ‘grands argentiers’ qui gagnent ‘une maison’ par mois iront peut être faire leurs courses dans les hard discount, qui à leur tour montent leur prix...Exploitation de la misère ! Henry Quinson a une longueur d’avance : la crise va obliger les gens à réfléchir et à se poser les vraies questions. C’est un messager qui arrive au moment où il faut frapper fort pour éveiller les consciences complètement anesthésiées par le fric... Il le fait avec une très grande simplicité, humilité et surtout avec beaucoup de charisme. C’est la Vérité qui fera ‘péter’ tous les audimats ! Va-ton arriver à moraliser la finance ? J’attends le prochain livre d’Henry Quinson avec impatience. Il devrait continuer à dénoncer ‘la mauvaise odeur’ de l'argent, la cupidité et la corruption, avec en parallèle les vertus théologales pour les guérir. Le détachement, le partage et l’honnêteté : c’est ‘ringard’ ? On voit où ce mépris de la spiritualité nous a conduit ! Merci à Henry Quinson, qui a préféré Dieu à Wall Street !"

V. V., Toulouse

"J'ai adoré ‘Moine des cités’. J'en ai vu la pub dans un journal chez mon médecin, dans la salle d'attente. Le style clair et simple d’Henry Quinson parle direct au cœur. Bien des passages ont résonné en moi alors que je suis furieusement athée. Son sourire décoince le cœur et y met du baume. En voyant ce bouquin, je me suis dit, ce mec, c'est ma dernière chance de sortir de mon athéisme. Ça fait trois fois que je le lis ! C'est vivant, profond, émouvant, drôle. C’est une tranche de vie qui vous met en appétit !"

S. S., Paris

"Le témoignage d’Henry Quinson (découvert par hasard à la suite d’une critique sur le Net) m’a particulièrement intéressée et touchée, hormis l'aspect spirituel qui m’échappe totalement du fait de mon agnosticisme. Cela peut paraître contradictoire puisque la démarche d’Henry Quinson est essentiellement religieuse comme il l’explique fort bien. Ce qui m’a touchée, c’est l’aspect ‘découverte de l’autre’, réelle quête d’altérité qui me semble si difficile à vivre dans notre société. Henry Quinson sait prendre du recul par rapport à sa propre culture pour mieux comprendre ses vraies richesses et ses aspects critiquables à améliorer. Expliquer et découvrir les stéréotypes qui nous encombrent de tous côtés est très éclairant. Les causes du non-respect des enfants vis-à-vis des adultes dans les milieux dits ‘défavorisés’ sont très bien analysées. La marchandisation du monde est débusquée à travers des cas concrets. L’unique modèle présenté aujourd’hui par l’Occident, ou tout du moins retenu par les gens des pays pauvres, est finement démasqué, même si on peut en comprendre l’attrait lorsqu’on manque de tout. La notion de gratuité semble tellement éloignée du monde occidental ! Henry Quinson sait distinguer la gratuité des ‘bonnes œuvres’ qui ne sont qu’un rôle à jouer pour correspondre à notre ‘image sociale’. La remarque d’Henry Quinson sur les riches qui ne connaissent tout simplement pas les pauvres est d’une tragique réalité, qui se traduit souvent par une intolérable dureté politique. Je souhaiterais qu’Henry Quinson continue à écrire car il sait inventer des formules très drôles qui font mouche comme ‘Dieu ne vit pas au dernier étage d’une tour d’ivoire à loyer immodéré’… J’en ris encore ! Mes amis cathos se moquent de moi, l’anticléricale, quand je leur confie mon enthousiasme pour ‘Moine des cités’. Tant pis ! J’assume : vive Massilia et sa Fraternité Saint Paul !"

L. S., Paris

"Ma fille m'a prêté le livre 'Moine des cités'. Je l'ai commencé et j'ai eu du mal à le quitter pour vaquer à mes occupations.  Il est m'est devenu comme un ami. Bravo à Henry Quinson et la Fraternité Saint Paul !"

A. M., Lyon

"Au moment des fêtes de Noël, le livre ‘Moines des Cités’ écrit par Henry Quinson a retenu toute mon attention. J’ai découvert ce personnage à la limite de la marginalité,  à la recherche d’une vie correspondant à un besoin de spiritualité allié à une vie active au service des démunis dans un contexte d’œcuménisme, de partage et d’échanges. Ce qui a retenu mon attention dans ce livre, c’est, bien sûr,  le parcours de cet homme : le passage d’un monde essentiellement matériel à un monde beaucoup plus spirituel. C’est ma quête depuis quelques années déjà. Ce qui m’intéresse aussi, c’est la Fraternité Saint Paul installée dans ces quartiers que peu de Marseillais fréquentent ou ne pensent pas à fréquenter. Pendant toute la lecture du livre, je ne comprenais pas bien la nécessité de se positionner comme chrétien dans ce lieu, de se réclamer de Dieu pour entrer en contact avec les habitants. Pour moi, la foi – qui ne porte pas nécessairement le nom d’une religion – est du domaine de l’intime et ne regarde personne d’autre que moi. Ce qui m’importe c’est le respect et le partage entre êtres humains. Point. Peu à peu, une certaine évidence s’est imposée à moi : pour pouvoir échanger  et comprendre certains modes de vie, notamment la place de la femme dans les sociétés musulmanes pour ce qui me concerne, quoi de mieux que d’échanger sur un pied d’égalité (entre chrétiens  pratiquants et musulmans pratiquants) ? J’avoue me trouver fort démunie par moment face à certaines traditions (je ne sais même pas si elles relèvent de l’Islam) qui me semblent être plus un frein qu’un élément dynamique pour aller vers l’autonomie. Je ne crois pas aux changements brutaux.  Je crois beaucoup plus en un travail de fourmi dans l’échange, le discernement et la bienveillance. Il me semble que c’est ce que vit la Fraternité Saint Paul à Marseille. Je suis souvent indignée de constater que la seule chose qui nous gouverne, c’est l’argent, et qu’au nom de cet argent on se permet de détruire et d’affamer des peuples entiers. Alors merci de cette petite goutte d’eau distillée dans l’océan de la misère humaine. Ce n’est que du bonheur !"

R. D., Marseille

"J’ai vu Henry Quinson dans l’émission télévisée ‘Vie privée, vie publique’ et j’ai été  fascinée. Il y a encore quelques personnes sur cette terre qui arrivent à penser au-delà d’eux-mêmes. C’est si encourageant ! Ce qui manque aujourd’hui, c’est la compassion et la générosité. C’était fatal d’en arriver à ce monde dur qui finalement s’écroule sous l’égoïsme et la spéculation à court terme. Car nos sociétés n’ont pas cessé d’encourager la compétition au détriment du partage. Sans condamner les réalités matérielles, je crois important de prendre du temps pour partager nos émotions, notamment avec les plus jeunes, et d’accueillir ceux qui nous entourent comme ils viennent. J’espère qu’Henry Quinson parviendra à créer une nouvelle façon de penser. Si des hommes et des femmes commençaient, partout dans le monde, à comprendre qu’un moment partagé a plus de valeur que de l’argent accumulé, nous réussirions peut-être à faire de l'homme du troisième millénaire un être plus humain."

K. A., Ile Maurice

"Le livre d’Henry Quinson est un témoignage très ‘masculin’, tout en retenu et en analyse, pour une vocation très ‘féminine’ d'accueil et de vie de tous les jours. Donc une humanité très complète ! Super !! J'aime le côté ‘intelligent’ de cette foi et l'articulation foi et évènements du monde. ‘Moine des cités’ m'a aidé à une prise de conscience de la ‘sacralité’ de ma vie ‘ordinaire’ par rapport à je ne sais quel idéal de sainteté. Je me pensais ‘handicapée’ spirituelle, mais non ! Henry Quinson me donne envie de relire Madeleine Delbrêl. Pour moi qui ai 43 ans, cela faisait ‘après guerre’, désuet, alors que son message s'avère tout à fait actuel. Henry Quinson va à contre courant de ces mouvements très ‘religieux’ (limite sectaire sur la doctrine) qui magnifient la vie religieuse ‘à part’,  chez qui les jeunes s'engagent en masse (besoin de repères, de sécurité ?). Je suis dans une paroisse où il y a de jeunes sœurs toujours ‘confites en dévotion’ mais qui ne m'ont jamais dit bonjour... depuis sept ans que je suis là ! Je ne supporte plus mon Eglise ainsi. L’ouverture d’Henry Quinson sur les autres et les différentes cultures me réconforte beaucoup. J'adhère pleinement à ce christianisme-là. Mon mari est athée et ‘bouffeur de curé’ mais si plein de cœur ! Engagée dans le syndicalisme d'entreprise, j'ai eu plusieurs vies professionnelles mais ma foi en Dieu est le fil rouge de mon existence. Dieu nous guide vers ce que nous sommes et Henry Quinson le décrit très bien : la créativité de chacun dans les relations aux autres, les activités, les talents... Henry Quinson a beaucoup reçu et il redonne beaucoup. Ce n'est pas évident de se dévoiler ainsi. Bravo d'avoir mis tout cela en mots !"

I. D., Paris

"Je viens de terminer la lecture du livre d'Henry Quinson, ‘Moine des Cités’. Ce récit et témoignage d'un cheminement m'a beaucoup touchée par son humanité et sa sincérité. Je suis en questionnement sur le sens de ma vie depuis plusieurs années. Plutôt athée ou agnostique, mais d'éducation catholique, mon ‘moyen’ de communion avec ce que je pourrais appeler l'’universel’ est le chant. Chanter s'apparente chez moi à la prière, et cela me permet de me ressourcer. Cependant j'ai besoin d'être guidée d'une manière ou d'une autre. Rester seule face à moi-même ne m'aide pas à avancer. Je pense que des lieux de prière communautaire et d'écoute comme la Fraternité Saint Paul sont importants."

C. G., Lille

"J'ai lu avec attention l’autobiographie d’Henry Quinson, curieux de connaitre les motivations de personnes qui se dévouent et aident les plus nécessiteux, comme sœur Emmanuelle (dont j'ai aussi lu le livre) avec qui, dans les grandes lignes, Henry Quinson partage le même cheminement. J'admire ces actions mais je ne comprends pas qu'il faille un appui spirituel pour les motiver. Je ne suis pas croyant, et je trouve d'ailleurs que la religion tue plus souvent son prochain qu'elle ne l'aime (le conflit israélo-palestinien en est un triste exemple). Quoi qu'il en soit, je rejoins totalement Henry Quinson sur le fait que le choix de vivre dans ces quartiers est beaucoup plus riche qu'une carrière a Wall Street, et je salue son dévouement."

T. L., Marseille

"L’an dernier, lorsque mon mari m’avait offert ‘Moine des cités’ pour Pâques, il avait dû le commander. La vendeuse avait été fort étonnée par le titre. La deuxième fois, lui disant mon enthousiasme, elle a souri et noté. Depuis, le livre d’Henry Quinson figure en bonne place au Centre culturel Leclerc de Conflans-Sainte-Honorine ! Je m’en réjouis car mon exemplaire a circulé parmi les proches et a été offert à des jeunes en recherche : chaque fois, il a eu un impact sur les lecteurs. Arrivé juste avant la crise, il est là pour rappeler qu’il y a des appels plus forts que tout, difficile à discerner mais impérieux."

M. D., Andrésy

"Marseillaise émigrée en Belgique, j’ai vu Henry Quinson chez Mireille Dumas. Cet homme étonnant a fait le chemin à l’envers du mien : il se trouve là où j’étais il y a 20 ans. Il a quitté les sphères internationales, aisées, pour vivre dans un immeuble et faire de l’entraide. J’ai fais l’inverse. J’ai lu son livre, et je sais maintenant que l’aventure continue : de nouveaux migrants, de nouveaux challenges, de nouveaux serviteurs des hommes et de Dieu, de nouveaux étudiants qui viennent aider…L’aventure humaine et spirituelle continue. Henry Quinson y a apporté sa dimension propre, sa structure, ses connaissances, son cœur, son propre rythme…sa foi. Longue vie à la Fraternité Saint Paul !"

P. B., Bruxelles

"C'est récemment que j'ai lu ‘Moine des Cités’ car une amie me l'a enregistré sur K7. L’itinéraire d’Henry Quinson résonne en moi qui, du fait de la perte de la vue, vis sous une forme assez solitaire un appel à une vie contemplative en plein monde, très aidée par la familiarité avec Madeleine Delbrêl. Merci pour ce témoignage d’une vie spirituelle et fraternelle en cité HLM !"

M. L., Paris

"J’ai lu ‘Moine des cités’ avec passion après avoir vu une annonce de ce livre dans un hebdomadaire. Il retrace très bien le cheminement d’Henry Quinson. J’ai été d’autant plus intéressée que je connais Tamié (je suis originaire de la région) et que j’ai suivi la vie des moines de Tibhirine, dont le massacre m’a bouleversée. J’admire le travail de la Fraternité Saint Paul à Marseille et en Algérie."

S. H., Sisteron

"'Moines des cités' m'a aidé, redonné espoir. J'espère qu'Henry Quinson continuera à écrire."

A. L., Lourdes

"J'ai fait la connaissance d’Henry Quinson lors de l'émission de Mireille Dumas. Cela m'a incité à lire son livre, ‘Moine des cités’. Ma question demeure : pourquoi ? Les origines plutôt aisées, les études prestigieuses couronnées de succès, la profession de trader et son physique de jeune premier font d’Henry Quinson, vu de l'extérieur, l'homme idéal. Pourquoi avoir décidé de tout laisser pour partager la vie des plus pauvres de notre société ? Je reste sans voix (comme son collègue trader à l’annonce de son choix) ! Dieu doit être malin ! Personne n'aurait parié sur une telle vocation ! Mais ça marche ! Cette histoire réveille, dérange, bouleverse et émeut ! Après réflexion, Henry Quinson ne devrait-il pas aujourd’hui agir dans les milieux financiers et politiques pour changer cette culture du rendement qui a provoqué la crise, créant par le fait même de nouveaux pauvres ? Je souhaiterais qu’Henry Quinson s’engage à ce niveau maintenant qu’il connaît de l’intérieur le monde des riches et celui des pauvres."

M. M., Paris

"J'ai pris mon temps pour lire ‘Moine des cités’, car ce récit palpitant est aussi une fine réflexion théologique. Sur l’état de notre société, le constat est sans concession, mais il ne me surprend pas. Il y a cependant beaucoup d'espoir qui se dégage de ce témoignage. Le parcours d’Henry Quinson me touche beaucoup. Il contribue à rapprocher les hommes, même ceux qui n'ont pas la foi."

D. R., Marseille

"Je ne connais Henry Quinson que par son interview par Mireille Dumas et son livre ‘Moines des Cités’, que j’ai lu avec un très grand intérêt. Dès le début de son témoignage, j’ai vite compris qu’il avait suivi un SIGNE et avec la lucidité qui semble être la sienne il est allé jusqu’au bout. Il fait sûrement partie de ces ‘TEMOINS’ de notre temps qui sont suscités à un moment donné de notre Histoire, tels que le Curé d’ars, l’Abbé Pierre avec les sans abris, sœur Theresa, Sœur Emmanuelle, et on pourrait en citer bien d’autres… Bravo pour ce témoignage d’une rare richesse !"

C. R., Marseille

"‘Moine des cités’ m'a beaucoup touché. Je suis en accord avec le souci de la Fraternité Saint Paul des pauvres de banlieue, du désir exigeant d’Henry Quinson de vivre sa foi en Jésus dans la réalité du XXe siècle ainsi que la conscience qu'il nous faut ‘tout inventer pour ne pas subir’ ce monde qui craque et doit muter, reformuler aussi les discours, comme si les mots avaient trop servi. Serions-nous à l'aube du christianisme, comme le disait un moine que j'ai entendu sur France Culture hier ? Je vis à Marseille depuis cinq ans et serais heureuse d’aider la Fraternité Saint Paul dans son travail d'accompagnement."

C. C., Marseille

"J’ai dévoré ‘Moine des Cités’ pendant ces temps de Pâques. L’expérience fantastique de création d’une fraternité là où c’est le plus nécessaire répond bien aux sources de l’Evangile d’une présence aimante surtout auprès des plus modestes. Je partage avec Henry Quinson bien des points (même si avec cinq enfants, j’ai choisi une autre voie) : foi catholique, actions de solidarité via le microcrédit, travail à la banque avec ses hauts et ses bas, actions associatives dans le quartier difficile de Jussieu. Elu MoDem au Conseil municipal de Versailles, nous devons agir pour rapprocher les citoyens de notre ville qui respecte presque son quota de 20% de logements sociaux. Multiplier les contacts pour éviter toutes les incompréhensions stupides est un devoir civique et même religieux. Arrêtons de jouer sur la peur et le rejet de l’autre ! Lire le livre d’Henry Quinson est une joie vivifiante pour repartir d’un bon pied sur la voie de la fraternité chrétienne et républicaine."

O. B., Versailles

"Je viens de lire ‘Moines des cités’ et je tiens à faire savoir combien ce livre m'a intéressé et combien j'apprécie l’approche de la vie monastique d’Henry Quinson (sans critiquer l'ancienne mais content d'en voir de nouvelles apparaître). Chrétien engagé dans la cité durant plusieurs années et pour le moment engagé dans une commission municipale pour essayer de rendre nos villes accessibles aux personnes handicapées, cette insertion dans la cité me touche et me réjouit. Dans cette période dure où l'exclusion domine, cette approche de l'Evangile me convient. Puisse le Christ aider les hommes à vivre cette fraternité et cet amour des autres si bien incarné dans le réel quotidien des quartiers Nord de Marseille !"

A. E., Rennes

"Je viens de regarder à la TV belge le reportage ‘Loin de Rome’ sur l’arrivée de Jean-Pol Lejeune à la Fraternité Saint Paul. J'admire votre Fraternité Saint-Paul car je ressens qu'il y a chez vous un équilibre, sûrement fragile comme tout ce qui est de l'homme, mais avec la grâce du Seigneur, cet équilibre existe bel et bien. ‘Moines des Cités’ me réconcilie avec les musulmans. Nous avons, mon mari et moi, une fille de cœur à Beyrouth et depuis le 14 février 2005, la vie au Liban est devenue bien précaire... J'en rejetais la faute aux musulmans... En avril 2005, nous avions d'ailleurs entendu un imam hurler sa haine dans un micro à Balbek... Grâce à Henry Quinson, je relativise mieux, je généralise moins... Voilà tout ce que votre Fraternité en l'espace de moins de deux mois m'a apporté: le témoignage d'un prêtre compatriote en recherche comme je le suis et une meilleure compréhension des problèmes du Proche-Orient."

M.-M. K, Merbes-le-Château, Belgique

"Hier matin, gare de Lyon, en partance pour Miramas rejoindre des amis qui habitent Salon de Provence, je m'arrête dans un point Relay afin d'y trouver de la lecture pour ce long trajet qui m'attend. Mes yeux se sont posés sur ‘Moine des Cités’.... Dès les premières pages de nombreux passages m'ont bouleversé... Des choses simples mais dites avec les mots justes ! Et ce choix de quitter certaines choses pour aller vers Dieu, et vers l'essentiel !!!.... Je me suis très souvent posé cette question de l'engagement en Dieu, pour Dieu ... une question à laquelle il est très difficile de répondre, mais question à laquelle pour de nombreuses raisons j'ai répondu par la négative (je n'imaginais cet engagement qu'en monastère clos...). Parfois, j'ai l'impression qu'Il n'est pas là pour m'indiquer la route à suivre.... Et pourtant je prie, je L'appelle, Lui fait partager mes peurs, mes craintes, parfois mes joies, et bien souvent mes peines.... J'admire la démarche d’Henry Quinson, et son récit est passionnant.... simplement chaleureux, tourné vers les autres!...J’ai annoté mon livre et je pense en reprendre une deuxième lecture dans quelques semaines..."

L. G., Paris

"Je suis guadeloupéenne. J’ai vu Henry Quinson présenter son livre ‘Moine des cités’, un soir au cours d'un journal télévisé. Je me le suis procuré et je viens d'en terminer la lecture. Arrivée à la page 105 de l'ouvrage, j'ai été frappée par la similitude de la démarche de la Fraternité Saint Paul et de la mienne par rapport à Madeleine Delbrêl, quand en mai 1996, j'étais à la recherche de ma vocation particulière. Dans ma recherche, étaient en balance un institut séculier et un style de vie semblable à celui des Equipes de M. Delbrêl. Au bout du compte, j'ai choisi tout simplement de vivre l'Evangile dans mes différents milieux de vie, et de poursuivre mon engagement dans ma paroisse et dans mon diocèse. Merci pour la fraîcheur de ce témoignage."

N. M., Guadeloupe

"Lors du passage d’Henry Quinson à Saint-Brieuc j’étais dans l’église pleine et médusée. Tout y était très beau, et l'émotion de ses yeux devant la bougie de son anniversaire ! ‘Moine des cités’ me conforte dans mon engagement hors des ors et des artifices. Notre petite famille a eu ce qu'il fallait mais n'a pas été envahie par ‘l'indispensable’ en tous domaines, qui laisse croire à l'homme qu'il devient supérieur parce qu'il possède. Ce livre donne la mesure d’un véritable engagement  auprès de l'être humain."

N. N., St-Brieuc

"La vie en Dieu est un sacré puzzle et nous devons comprendre que ce jeu de patience est sans recette : Dieu seul est capable de nous fournir tous les éléments. Le témoignage d’Henry Quinson en est une superbe illustration : quel chapelet d’épreuves intérieures et extérieures pour participer à l’œuvre de Dieu ! Ce qui m’a impressionné c’est le désir d’Henry Quinson de vivre une fraternité avec des voisins musulmans alors même que ses amis étaient victimes d’exactions de la part des groupes islamistes armés en Algérie. Dieu est amour ! Je suis très heureux d’avoir lu cette histoire, heureux de cette présence d’amitié pendant douze ans à Marseille, heureux de tous ces sourires du cahier photos, heureux de voir Dieu au milieu de la Fraternité Saint Paul et de ce quartier. Merci !"

P. G., Paris

"Chrétien d’avant tous les conciles et en dehors de tous les dogmes de l’Eglise, j’ai trouvé en Henry Quinson un vrai chrétien dont la qualité essentielle est la disponibilité : disponibilité à Dieu par la prière, disponibilité aux déshérités du monde que la Fraternité Saint Paul accueille et aide chaque jour, et disponibilité à tous ceux qui cherchent la Vérité à travers un témoignage simple, direct et passionnant, que l’on peut découvrir dans son livre ‘Moine des cités’. Henry Quinson respire un parfait équilibre. J’admire la sagesse avec laquelle il a décidé de ne pas prendre plus de 10% de son temps pour les tournées de témoignage. Henry Quinson ne prend pas la ‘grosse tête’ et rappelle simplement les valeurs spirituelles de l’homme sans condamner l’argent, instrument fantastique pour les échanges. Oui, l’argent est une merveilleuse invention, à condition de le mettre au service de l’homme… Henry Quinson ne cherche à convertir personne. Il témoigne simplement de la foi qui l’anime. Voilà tout. Face aux désordres du monde il ne prône pas la violence des révolutions, mais il invite à ‘rentrer en résistance’ en refusant le désespoir et la fatalité. J’ai beaucoup aimé cette phrase : ‘Je veux jeter des ponts et non pas les couper’. Merci de semer la JOIE. S’il est une vie éternelle, je crois que c’est par nos actes que nous serons jugés, et non sur les dogmes que nous aurons crus ou pas crus. MERCI encore de ce témoignage concret, positif et ouvert !"

H. L., Rillieux-la-Pape

"La lecture de ‘Moine des cités’ m’a touchée. Elle est entrée en vibration avec des attentes que je portais depuis longtemps. La nuit qui a suivi cette lecture, j’ai rêvé. Un rêve d’une très grande force. Qui m’a bouleversée. Je me suis vue et sentie assise à une table de travail où j’étudiais les Textes. Je me suis alors engagée dans la lecture des Ecritures, remplie d’une énergie ‘autre’, ‘divine’, mais débordante de doutes. Car ma rencontre de Dieu est loin d’être évidente. Fille d’un père juif et d’une mère catholique divorcée, donc interdite de communion, je me suis éloignée de l’Eglise. Plus d’Eglise, plus de lien, plus de Dieu. Persistait une émotion lors des cérémonies religieuses auxquelles j’assistais conventionnellement : mariages, baptêmes, funérailles. Mais j’étais en colère contre le dogmatisme de l’Eglise. Comme je ne connais pas les Ecritures, je ne les comprenais pas. Cependant, je sentais une force de l’Au-delà. Après avoir lu le récit d’Henry Quinson, je me tiens dans l’accueil de ce Dieu qu’on m’avait montré jusqu’alors mais dont le visage était sans doute défiguré. Merci pour ce témoignage libérateur !"

I. D., Villeurbanne

"J'ai beaucoup aimé ‘Moine des cités’, la manière dont Henry Quinson met en valeur les gens de son quartier, la pédagogie spirituelle présente dans la manière dont il témoigne de son propre cheminement, la force, l'humour et la simplicité, une espérance basée sur des faits concrets qui nous disent que tout est possible. J'en ai été d'autant plus touchée que j'ai participé à des enquêtes sociologiques dans les cités du 93. A force d'entendre parler des multiples dysfonctionnements et magouilles municipales, des épuisements infinis des animateurs et acteurs sociaux devant leurs efforts parfois vains, de la peur et de la désillusion des habitants et du partenariat pour le moins défaillant entre tous les acteurs concernés, je me disais chaque jour ‘qu'il fallait des moines ici’ : des personnes n'ayant rien à prouver ni aucun objectif à atteindre, seulement celui d'être présents et rayonner de la Présence, des personnes habitées par la prière sans peur de l'autre mais au contraire passionnés par la rencontre et agissant guidés par le Souffle. Des moines quoi ! Qui mieux que l'Esprit fédère, réconcilie, mets en lumière et en valeur, revitalise, fait renaître ? La politique de la ville n'y suffira pas, le défi est trop grand. C'est bien la crise ! Nous sommes acculés à Dieu. J'aime aussi beaucoup la manière dont Henry Quinson témoigne dans les médias. L'émission de Mireille Dumas était un bel écrin, le témoignage des autres invités était également très fort et tout ‘se mariait bien’. Peu importe que Dieu soit nommé ou pas ! Enfin, je suis ravie, vraiment ravie, qu’Henry Quinson rende visible avec succès ce qui l'habite et pas seulement sur les ondes catho mais à un large publique. Je suis heureuse aussi que le souffle de Tibhirine soit à l'œuvre en France."

A. M., Paris

"J’ai eu l’immense plaisir d’assister à la conférence-débat d’Henry Quinson à Perpignan. Merci pour cette intervention à la fois (…ou foi) spirituelle et emprunte de spiritualité. J’ai été très sensible aux thèmes développés avec simplicité et sensibilité. J’ai donc entrepris la lecture de ‘Moine des cités’ ce matin et regrette d’en fermer la dernière page ce soir. Ce que Henry Quinson a écrit nous renvoie à la foi, l’espérance et la charité, vertus théologales pour ceux qui ont les pieds dans la glaise, s’engagent sur le terrain et ne s’enterrent pas dans des salamalecs d’un autre âge. L’engagement d’Henry Quinson redonne toute sa valeur à cette maxime inscrite au fronton de nos mairies : ‘Liberté, Egalité, Fraternité’. Tout le monde a zappé le dernier terme, la Fraternité, parce qu’elle est le fruit d’un engagement individuel et malheureusement rarement collectif. J’ai apprécié la référence à Proust : ‘Le seul, le vrai, l’unique voyage, c’est de changer de regard’. Chrétien (mauvais chrétien probablement), je rejoins Henry Quinson dans la lutte contre le racisme, l’antisémitisme (mon grand-père maternel, militant communiste, est mort à Auschwitz en 1942), l’intégrisme, la violence gratuite et insipide. Encore merci du fond du cœur pour l’exemple que donne un ancien trader, qui a probablement fait le meilleur ‘placement’, en suivant la voie de Jésus."

A. V., Cabestany

"Je viens de terminer la lecture de ‘Moine des Cités’, et je suis totalement émerveillée par ce que la Fraternité Saint Paul réalise dans ces quartiers difficiles. J'étais très dubitative quant au rôle des moines dans un monastère, j'ai longtemps pensé que cela ne ‘servait à rien’, regrettant le fait que ces hommes ou ces femmes appelés par Dieu ne nouent pas des liens dans la société, ne vivent pas aux côtés des plus pauvres et des plus démunis. Ils peuvent tellement apporter! En vivant auprès des ‘exclus’, la Fraternité Saint Paul leur apporte le regard que personne n'ose leur porter. Merci pour cela."

V. D., Clermont-Ferrand

"J’ai 37 ans et je viens de dévorer ‘Moine des Cités’, qui m'a été offert récemment. J'ai vécu un appel à la foi en août 2006 qui m'a conduit à changer radicalement de vie. Le livre  d’Henry Quinson résonne beaucoup en moi et je fais des parallèles. Merci  pour ce parcours et toute l'énergie investie à ouvrir de  nouvelles perspectives."

B. M., Lausanne

"J'ai 19 ans, et je rentre en propédeutique à Paray-le-Monial l'année prochaine. J'ai lu ‘Moine des cités’, qui m'a beaucoup interpelé car je me suis pas mal reconnu dans le discernement d’Henry Quinson jusqu'a Marseille. Cet itinéraire m'a d'autant plus intéressé qu'il pourrait ressembler au mien si Dieu le veut. En effet, j'ai toujours été très proche des musulmans (je crois d'ailleurs que c'est un peu grâce à eux si la foi a pris tant d'importance pour moi) et que vivre au milieu des pauvres est mon souhait le plus cher. A suivre !"

L. G., Lyon

"J'étais à la conférence d’Henry Quinson à l'ESC Troyes où je suis étudiant. Avant d'intégrer cette ESC, je ne pensais qu'au fric. Mais j'ai rencontré Dieu il y a un an et demi. C'est cette année au Canada que j'ai cheminé : réflexion sur moi-même et sur mon projet de vie, entrée en catéchuménat... Henry Quinson a su faire preuve d'audace : audace de quitter le système financier pour un monastère ; audace d'œuvrer au rapprochement interreligieux dans sa cité. A mes yeux, cette audace n'est pas possible sans une audace intellectuelle : se remettre en cause, réfléchir sur son ‘je’. A mon avis, beaucoup de gens sont aliénés et bouffés par le système en travaillant par exemple 55h ou 60h par semaine. Ils sont aliénés car ils n'ont plus le temps de s'auto-analyser, de voir s'ils sont heureux et/ou comment ils peuvent faire pour être heureux demain. Ma vie commence à changer car j'ai un haut niveau de conscience qui m'est donné par le Saint-Esprit : il me permet de réfléchir sur les moyens qui vont me permettre d'être heureux demain. J’espère rencontrer Henry Quinson à nouveau."

T. C., Troyes

"La lecture de ‘Moine des cités’ me laisse émue. Je suis touchée par le témoignage d’Henry Quinson. Son chemin spirituel résonne en moi par sa simplicité, sa vérité, son authenticité, qui ose identifier les ombres vécues vers la Lumière jamais démentie."

M. G., Suisse

"Henry Quinson est un personnage que les médias s’arrachent aujourd’hui. Pourtant son existence était ignorée de tous avant la crise financière, qui l’a révélé au-delà de son quartier et de sa communauté. Son passionnant récit autobiographique ‘Moine des cités’ est rempli d'amour. A travers des rencontres étonnantes, il incarne une Eglise proche des hommes de milieux divers, une Eglise après concile en dialogue avec les musulmans et tous les hommes de bonne volonté. Dans un appartement HLM ouvert à tous la Fraternité Saint Paul qu’il a fondée vit l’entraide sous différentes formes : soutien scolaire, papiers administratifs et fêtes partagées… Toutes les facettes d'un amour fraternel sans frontières et au cœur de l'actualité. A lire !"

P. M., Limoges

"Ancien trader ‘ruiné’, j’ai plongé les miens dans la misère. Ma famille m’a tourné le dos. Les banques me poursuivent. Comment réorienter ma vie et garder l'espoir d'être utile quelque part dans ce monde ? Le témoignage d’Henry Quinson est pour moi une lumière, une espérance, une trace de Dieu…"

D. L., Paris

"J’ai découvert Henry Quinson par un article paru dans la revue XXI. Son parcours m’a donné envie de lire son livre. D’habitude, je ne suis attiré en rien par ce qui peut toucher de près ou de loin au catholicisme. Je suis en effet ‘débaptisée’, non par provocation ‘gauchiste’ mais par respect des croyants : n’étant pas en accord avec les dogmes de l’Eglise, je ne voulais pas être hypocrite en restant catholique. J’ai 34 ans. Je suis professeur en lycée professionnel. Je viens d’un milieu modeste, mes grands-parents italiens ayant fuit la misère. Dans ce milieu populaire, peu cultivé, je suis la seule à avoir été aussi loin dans les études. Jusqu’à ce jour, je sentais que mon cheminement était une imposture : je n’étais pas à ma place. Le livre d’Henry Quinson m’a rendue ce que j’avais perdu : la foi et la joie dans mon travail et plus profondément en la vie. C’est étonnant pour une ‘débaptisée’, j’en conviens. Je n’aime pas le nom ‘Dieu’, je lui préfère celui de ‘Vie’. Je prie sans rien demander, juste pour me connecter à l’Unité. Depuis quelques temps, j’étais plongée dans une sorte de nuit intérieure : je ne ressentais ni joie, ni foi. Alors que je cherchais des réponses en vain, le témoignage d’Henry Quinson a tout éclairé. Il m’a reconnecté à la Vie. Maintenant je sais quel chemin je dois emprunter : l’harmonie et la paix sont partout présentes et nous sommes invités à construire un pont pour que tous nos frères humains se rejoignent. Merci !"

N. D., Pont-à-Mousson

"J'ai appartenu durant plus de 20 ans au mouvement des Témoins de Jéhovah. De nombreuses injustices, incohérences, mensonges, etc. m'ont amenée à quitter ce mouvement. Aujourd'hui je suis à la rechercher d'une foi basée sur l'amour, tournée vers Dieu et non vers des hommes courant vers leur gloire personnelle. La (double) lecture du livre d’Henry Quinson m'a rendue à la vie après toutes ces années de ténèbres  (ce terme de ténèbres n'est pas trop fort). Grâce à Henry Quinson j'ai retrouvé le Dieu de mon enfance, celui que je priais, que j'implorais chaque jour et qui me permettait de vivre dans la joie et l'espérance."

L., Cergy-Pontoise

"Je viens de lire ‘Moine des cités’ et j'ai envie de dire merci à Henry Quinson pour la justesse du ton, cette fidélité à l'Esprit, cette joie et cet humour dont il fait preuve. J'ai aussi vu l'émission de Mireille Dumas... qui a dû marquer profondément plus d'un spectateur ce soir-là !"

N. D., xavière, Paris

"Originaire de Chambéry, j’ai 37 ans et suis musicien de profession, chef de chœur. Je suis en recherche actuellement d’un nouveau sens pour ma vie. J’ai été très sensible au témoignage émouvant, sincère et authentique d’Henry Quinson. J’aimerais servir, comme lui, mais selon mon charisme propre qui est celui de la musique et de la liturgie. Mon idéal serait de travailler à mi-temps pour me consacrer à la prière des heures et au renouveau liturgique, manifestation de notre joie de croire et de la joie du Ressuscité ! Merci pour ce témoignage et cet engagement qui m’ont vraiment touché."

F. P., Aix-les-Bains

"‘Moine des cités’ raconte de manière passionnante l’itinéraire spirituel d’Henry Quinson. Ce récit m'a rejoint à Madagascar, où je vis comme frère franciscain depuis de très nombreuses années. J’ai lu ce livre d'une seule traite, avec une forte émotion, y trouvant plusieurs convergences avec ma propre expérience, notamment par la référence première à Tamié et surtout Marseille où j'ai vécu dans les années 70 en petite fraternité. Merci pour ce témoignage qui m’a vraiment touché !"

J. T., Madagascar

"Je viens de terminer ‘Moine des Cités’. Un grand moment d’espérance, de fraternité et d'Amour dans ce monde de fous. Merci à Henry Quinson et à la Fraternité Saint Paul !"

B. G., Chartres

"Bravo, merci, encore, Fraternité Saint Paul, bénie par la Sainte Trinité et aidée par les hommes ! Je viens de lire Henry Quinson. Bravo, Christ est avec lui ! Je suis diacre de l'Eglise Orthodoxe Française. Pourquoi pas nous inspirer de cette manifestation de l’Esprit ? Chaleureuse Amitié en Christ !"

J. B., Suisse

"Je viens de lire ‘Moine des Cités’. Merci à Henry Quinson pour son témoignage. En dire plus serait un blasphème. Il n'y a, pour moi, pas de mot pour remercier la Providence qui a donné le jour à la Fraternité Saint Paul. ‘Ta peau est noire, la mienne est blanche’ [...] ‘Non ! Ta peau n'est pas blanche : elle est rose ! Et la mienne n'est pas noire : elle est marron !’. Entrer dans le regard du Dieu fraternel, tout en nuance, réaliste, concret, ouvert, quel travail ! La plume y contribue. Quell puissance dans la finesse !"

B. J., Nantes

"Grâce à l’émission de Mireille Dumas, j’ai fais connaissance avec Henry Quinson. ‘Moine des Cités’ est un livre magnifique qui me remet debout, me réconcilie avec moi-même."

M.-P. C., Albi

"‘Moine des cités’ entre en résonance avec quelque chose que je vis moi-même comme moniale cistercienne en Suisse romande. Cette intuition... presque révélation de vivre au cœur de la cité m'intrigue car je vois pour l’avenir de petits îlots de prières, dans de petites communautés occupants des cures vides. Comme Henry Quinson, je vois la vie monastique pour une part débarrassée de sa clôture physique. Nos monastères ne sont plus des points de repères, mais souvent des points de repaire ! Je rends grâce à Dieu qui a su conduire Henry Quinson à fonder la Fraternité Saint Paul, même si je puis m'imaginer que le chemin a dû être bien douloureux. Aujourd'hui je me sens très proche dans cette quête...."

Sr M.-P., Collombey

"C'est avec beaucoup de passion et de joie que j'ai lu ‘Moine des cités’. Quel parcours ! Ah ! Quelle force dans la faiblesse ! Certains passages de ce livre m'ont beaucoup éclairé et fait grandir ma foi, moi qui ai beaucoup souffert dans mon enfance. Henry Quinson sait se mettre à la portée des autres simplement."

M. T., Argenteuil

"Je n’arrête pas d’entendre parler d’Henry Quinson… Lors d’un des temps de formation dans notre communauté, notamment sur le discernement, le golden boy devenu ‘moine des cités’ était aux côtés de rien moins que Ste Thérèse d’Avila : deux itinéraires éloignés dans le temps mais proches dans la réception du discernement… ‘Moine des cités’, tiré désormais à 50 000 exemplaires, aura marqué les esprits à l’aube de ce nouveau millénaire. Pour une sortie de crise spirituelle ?"

T. B., Paris

"‘Moine des cités’ m'a vivement intéressée. J'ai été interpellée par la démarche d’Henry Quinson, pour arriver à l'installation à Marseille. Tout ce discernement, ces références constantes aux Ecritures ! C'était écrit. Il fallait juste savoir lire ! Je m'interroge de savoir si, à mon tour, je suis capable de ‘lire’ et de réaliser ma vie pour mon bonheur, celui de mes proches et la gloire du Créateur. Je soupçonne que oui : il y en a qui  y sont bien arrivés ! Par ailleurs, je vois Marseille autrement maintenant (et pas seulement à cause de ‘Plus belle la vie’ !) Merci encore pour ce témoignage !"

C. L.-B., Bagnolet

"Je suis d’origine sri-lankaise (tamoule), j’habite en France depuis très longtemps. Je suis  très touchée par ‘Moine des cités’ et la vie de la Fraternité Saint Paul à Marseille. Cette vie me rejoint au plus profond de moi-même. Peut-être en premier lieu à cause de mon baptême, de mes origines et d’autre part du fait que mon département « arc-en-ciel » a été mon  lieu de vie depuis une vingtaine d’année. La Fraternité Saint Paul est réellement un signe pour le monde…pour ce nouveau monde qui commence…Merci à Henry Quinson d’être à l’écoute de Dieu chaque jour et de faire don de sa vie de cette manière."

T. M., Seine-Saint-Denis

"J’ai 34 ans et je viens de lire ‘Moine des cités’. Ma confirmation en juin a été un grand moment de retrouvaille avec mon père, Abba (Rm 8,15). Je partage la vision d’Henry Quinson : là où sont les bonnes actions Dieu est présent. Finalement Dieu n'a pas de religion, c'est les hommes qui en ont besoin. Faire passer ce message est la clef du dialogue sans violence avec d'autres religions et finalement le chemin de la paix sur cette terre. Merci pour ce témoignage !"

R. N., Bordeaux

"A lire Henry Quinson on ressent une bienveillance et une grande humilité. Dorénavant, j'aurai une pensée pour la Fraternité et tous les habitants de St-Paul qui sont si chaleureux et accueillants si on leur en laisse la possibilité. Merci aussi à tous les bénévoles qui donnent des cours ! Jusqu'à présent, je ne savais pas que des moines pouvaient vivre en HLM, ‘sur le terrain’. J’espère qu’Henry Quinson nous écrira vite un autre livre car cela nous redonne du courage dans notre vie de tous les jours."

C. P., Sotteville-lès-Rouen

"J’ai 37 ans, je suis professeur dans le Pas-de-Calais. Mariée, deux enfants, je suis revenue à la foi et j’ai cheminé vers la confirmation. Aujourd’hui, je fais des études de théologie à la catho de Lille. J’ai lu ‘Moine des cités’ avec beaucoup d’intérêt suite au passage d’Henry Quinson sur France 2 dans les cinq dernières minutes du JT. Je vis ma foi dans un milieu relativement hostile. Henry Quinson m’a aidé à mieux comprendre comment discerner l’appel de Dieu dans ma vie pour la suite."

L. T., Pas-de-Calais

"La lecture de ‘Moine des cités" me permet de me couper de ce monde ou je n'ai pas encore trouvé ma place, où je souffre. Henry Quinson a su, à un moment donné, suivre son chemin de vie, quel courage ! Divorcée, je dois m’occuper de mes 2 filles. Dans mes moments de déprime, j'appelle Dieu et discute avec lui, à ma façon! Le témoignage d’Henry Quinson me réconforte. Merci pour ce merveilleux livre, à quand le n° 2 ?"

L. V., Créteil

"J’ai 46 ans et j'ai eu une expérience de conversion quand j'étais en France pour mes études de doctorat en psychiatrie. ‘Moine des cités’ m'a inspirée et me pousse à participer à un groupe de prière pour approfondir ma recherche et ma vie spirituelle."

M. T., Rio de Janeiro

"Merci d'avoir écrit ‘Moine des cités’ et de partager ainsi votre expérience ! Quel bonheur de voir qu'un plus grand nombre de petits ont droit à l'Evangile ! Vincent de Paul disait déjà en 1633 aux Filles de la Charité : ‘Elles auront pour monastère les rues de la ville’. Il y a quelques mois, alors que je ne connaissais pas la Fraternité Saint Paul, j'agrémentais cette citation de : ‘ …et les escaliers des immeubles’ ; car ils font partie de ma petite expérience…"

J. G., Mont de Marsan

"Mère de famille de 31 ans, c'est avec beaucoup d'émotion que je relis quelques passages de ‘Moine des cités’, en particulier celui où Henry Quinson et Karim De Broucker intègrent pour la première fois l’appartement de la Fraternité à St-Paul : ‘Il nous reviendra d'en faire un reposoir, un lieu de paix, où chacun pourra rencontrer, et peut-être un jour reconnaître, Celui-là même qui nous envoie’. Celui-là même qui a envoyé ces frères dans le Christ m'a converti à Son Amour, me comble de Sa grâce et m'offre Sa lumière. Merci pour ce témoignage écrit et pour la conférence du 6 février 2009 au Sacré-Cœur à Avignon ! Merci pour la joie rayonnante et surtout pour cette espérance en actes auprès de tous ! Que notre nourriture soit de faire Sa volonté !"

E. R., Isle-sur-la Sorgue

"Ce que m'a le plus frappée lors de la conférence d’Henry Quinson au C.F.P Saint-Paul en avril 2009 en Bretagne, c'est son calme, cette sorte de force tranquille qui émanait de lui. Une sérénité, une certitude (sans doute de l'existence de Dieu) irradiait de sa présence. J'ai connu trois tours du monde, des conférences aux quatre coins de la France, pleins de visages, pleins de couleurs, toute la beauté du monde... une grande aventure humaine. Henry Quinson a réalisé son rêve prémonitoire d'enseigner à des enfants étrangers. Je me demande quel est son rêve aujourd'hui. En tout cas, c'est un homme 'habité'. Son livre en porte la trace."

C. L. R., Guingamp

"J'ai lu ‘Moine des Cités’ presque d'un seul trait : beau témoignage, profond, riche. Témoignage qui interroge notre propre réponse à l'appel du Christ. Vie bien ancrée dans la réalité du monde d'aujourd'hui. Il me semble essentiel dans notre société laïcisée, où la foi est réduite au privé, que des témoins de Jésus Christ disent leur bonheur de répondre à son appel. Merci à Henry Quinson !"

M. D., Mâcon

"Je suis bouleversée à la lecture du livre d’Henry Quinson. Un témoignage particulier, fort, et nécessaire… plein d'Amour de Dieu et porteur d'espérance. Dans les périodes difficiles de l'Église, ce sont les moines et les Curés d'Ars qui ont sauvé l'Église de la médiocrité spirituelle. Merci encore ! Tant d’expériences à retenir ! Quel livre vivant ! Merci, mon Dieu !"

A. E., Lille

"J'ai vécu 17 ans à Frais-Vallon à Marseille et je me retrouve extraordinairement dans ce qu’Henry Quinson écrit dans ‘Moine des cités’. J'ai quitté ce quartier lorsque ma congrégation a fermé l'implantation et ce départ a été une épreuve et reste pour moi une question. Je vis encore des convictions acquises dans cette fraternité vécue au quotidien, et ma vie religieuse en est transformée. Henry Quinson a le courage de partager ses doutes, ses questions et ses espoirs. Je crois qu'on ne peut pas vivre une vie religieuse en dehors de la réalité de notre temps."

H. B., Tarn

"Merci pour ‘Moine des cités’ ! J'y ai retrouvé les auteurs qui ont jalonné ma vie (je suis né en 1963) : Antoine Chevrier, Madeleine Delbrêl et le magnifique monastère de Tamié. Ce que j'ai aimé dans ce livre, c'est qu’Henry Quinson a créé un chemin personnel et communautaire adapté à notre temps. Notre monde est exploratoire. Merci pour cette réflexion fine et les mots justes."

E. P., Grenoble

"J’ai garni ‘Moine des Cités’ d’une forêt de post’its. Sa dixième édition (50e mille) signifie que le témoignage d’Henry Quinson porte. Comme l’écrivait Bossuet, ‘Dieu se rit des prières qu’on lui fait pour détourner les malheurs publics, quand on ne s’oppose pas à ce qui se fait pour les attirer’. Dans le contexte actuel de l’œcuménisme, du dialogue interreligieux et du respect de l’incroyance et de l’athéisme, pourquoi de pas appliquer sa phrase aux malheurs publics liés à la crise actuelle ? Henry Quinson nous met face à nos responsabilités d’hommes adultes."

F. G., Grenoble

"Je viens de lire  ‘Moine des cités’. Je suis de tout cœur avec la Fraternité Saint Paul. Je trouve tellement merveilleux d’habiter en cité HLM pour vivre une fraternité sans frontières !"

M.-C. H., Abidjan

"Je viens ‘d'avaler’ le livre ‘Moines des Cités’. C'est un vrai bonheur ! Je l'avais sorti de la bibliothèque de mon quartier et je dois aller le rendre pour que d'autres en bénéficient rapidement aussi. Je vais l'acheter pour pouvoir le prêter. L'Utopie partagée n'est pas un vain mot ! Merci à Henry Quinson pour ce témoignage !"

N. M., Echirolles

"J'ai acheté ‘Moine des cités’ après une retraite au foyer de charité de Tressaint afin de discerner quel sens donner à ma vie maintenant. Le responsable du foyer m'a dit : ‘Et pourquoi pas moine, mais pas moine dans un couvent, moine priant dans la ville ?’ J'ai cherché sur internet, et c'est là que j'ai découvert le livre d’Henry Quinson. J'ai dit OUI à la proposition mais maintenant se pose la question : ‘Comment cela va-t-il se faire ?’ En lisant le témoignage d’Henry Quinson, je sais déjà qu'il va falloir beaucoup de patience et faire confiance. Merci pour la lumière !"

J. B., Saint-Jean-de-Monts

"J'ai mis mon nez dans ‘Moine des cités’ et je l'ai lu en 24 heures ! J'ai tant aimé l'originalité de la recherche d’Henry Quinson pour vivre l'AMOUR, le message de Jésus. La Fraternité Saint Paul est une semence d'Amour dans un lieu où le plus souvent le ‘payot’ ne comprend rien. J'ai souvent ‘mal à mon Eglise’ lorsqu'elle parle du haut de son savoir, de ses certitudes et surtout de ses dogmes, lorsqu'elle excommunie la mère d'une enfant de 9 ans violée et le médecin qui a pratiqué l'avortement... Bref, lorsque l'Eglise condamne au lieu de vivre la parole de Jésus qui rencontre réellement la personne blessée et la remet debout. Bon courage à tous !"

H. S., Lyon

"J’ai été frappé par la discrétion, l’humilité (au plus beau sens du terme) et la charité qui émanent de l’approche d’Henry Quinson quant à l’islam et aux musulmans. Elle est lucide tout en étant profondément chrétienne, comme  tout son engagement de vie à Marseille pour lequel j’ai infiniment de respect. ‘Moine des cités’ m’a redonné confiance en l’avenir."

P. M., Paris

"En tant que chrétien, je suis fier que des ‘types’ comme Henry Quinson s’expriment et montrent un visage de l’Eglise qui n’est pas assez médiatisé. Pour beaucoup de collègues non christianisés, l’Eglise se réduit souvent aux propos du Pape tels qu’ils sont rapportés dans les médias, c’est à dire tronqués, mal contextualités, difficiles à défendre aussi au fond. Henry Quinson s’exprime très clairement, son discours d’ouverture est facile à entendre par tous. L’Eglise a besoin de hérauts : Henry Quinson semble suffisamment solide pour ne pas prendre la ‘grosse tête’. Donc, merci de participer aux émissions grand public en plus des livres et des conférences !"

H. G., Nantes

"Je viens de terminer la dernière page de ‘Moine des cités’, prêté par une amie, et suis encore sous l'émotion du témoignage et de tous les instants de vie qui ont contribués à donner naissance à la Fraternité Saint Paul. C'est pour tout être humain un message d'espérance mais surtout un déclencheur pour ne pas se laisser enfermer dans un égoïsme qui empêche toute relation de fraternité dépassant les clivages de race, de culture, de position sociale, etc. Bien sûr, nous ne sommes pas tous appelés à de tels engagements, cependant merci de nous rappeler qu'aucun d'entre nous ne doit remettre à demain les gestes, paroles et actes concrets pouvant remettre les gens debout pat notre écoute et tout ce qui peur en découler. Encore merci !"

J. D., Paris

"J'ai 40 ans et je travaille à Bobigny dans le "93". Ce qui m'a frappé dans ‘Moine des cités’, c'est le rappel  fréquent des textes de Madeleine Delbrêl, que j'ai découverte lors d'un rassemblement pour son centenaire à Créteil. Après avoir lu 'Moine des cités’, j'ai décidé de  reprendre la lecture des psaumes. Je tenais à remercier Henry Quinson pour cette bouffée d'enthousiasme et d'espoir que m'a redonné son livre."

L. D., Le Perreux-sur-Marne

"Voilà plusieurs mois que le livre de Henry Quinson m'est tombé dans les mains et dans le cœur. Voilà quelques jours qu'il est venu à Chambéry parler en direct de son parcours avec son Seigneur. Voilà quelques heures, ce matin, que son interview était retransmise sur RCF. Marseillais de naissance, ancien éducateur spécialisé, je rêvais depuis longtemps d'une présence contemplative en banlieue. Le Seigneur y était, mais il paraissait difficile de l’accueillir là. Je rends grâce pour cette vocation au milieu des cités."

J. R., Chambéry

"J'ai beaucoup aimé ‘Moine des cités’. La question du temps partiel a rejoint une de mes préoccupations actuelles. En effet je suis une maman de 5 enfants et pour leur consacrer du temps ainsi qu'à mon mari, nous avons fait ce choix, et je me rends compte que je n'aurai ‘pas grand chose à l'heure de la retraite’, alors la petite phrase d’Henry Quinson ‘eh bien tant pis !’ m'a fait du bien. J'ai choisi ma famille, une qualité de vie, du temps pour les autres et puis plus tard, on verra bien ! Merci pour ce témoignage et ces réflexions, qui me seront utiles aussi dans mon métier d’enseignante !"

P. B.,  Quincié-en-Beaujolais

"Dans 'Moine des cités. De Wall Street aux quartiers-Nord de Marseille' Henry Quinson fait le récit d’une traversée étonnante. Il a vécu un long et laborieux discernement. 'Il n’y a pas de chemin tout tracé, le chemin se fait en marchant', disait la chanson de Jean Debruyne. Nous suivons ici, pas à pas, le mouvement d’une vocation. Nous sommes en présence d’un homme à l’écoute de l’Esprit qui souffle sur un monde en mutation et dans une Eglise qui veut lire les signes des temps et les vivre."

Y. L., Blog Parlevif

"Dans le mensuel ‘Panorama’ de décembre 2009 je suis tombée sur l'article d'Henry Quinson ‘C'est quoi un juste salaire ?’, article que j'ai lu en priorité. J'aime son style simple et direct et toujours d'actualité ! Je suis heureuse qu’il soit désormais chroniqueur, car j'ai appris à le connaître par son ouvrage ‘Moine des Cités’. Livre que j'ai acheté grâce à ‘Panorama’, livre que j'ai dévoré et que je prête pour partager ma joie et mon enthousiasme!"

M. A., Angers

"Si Henry Quinson pouvait inspiré tout le Vatican ! On se prend à rêver en le lisant que tout le clergé devienne un jour actif et militant, engagé dans la lutte contre la misère et les inégalités. Un livre drôle et profond, à l'image de l'auteur. Il m'a rappelé des êtres exceptionnels tels que l'évêque Jacques Gaillot, l'abbé-Pierre, Soeurs Emmanuelle ou Teresa, leur engagement et leur exemple."

D. R., Paris

"J'ai dévoré le livre d'Henry Quinson comme un roman policier. Je suis depuis quelques temps navré de voir notre hiérarchie se soucier si peu des pauvres et se lancer plutôt dans la gestion. Cela entraine chez moi une mauvaise humeur, voire une colère aigüe contre l'Institution. Le Christ était humain et nous demande de le rencontrer au ras du sol. Merci pour ce témoignage qui me regonfle le moral, me confirme, m'oriente : j'ai décidé de retourner m'engager dans l'association d'aide aux chômeurs que j'avais laissé tomber."

P. A., Paris

"Une livre simple avec des envies simples et des réflexions simples et non simplistes."

R.E., Créteil

J’achève 'Moine des Cités', émerveillé par la manière dont l’engagement d’Henry Quinson, aussi grand qu’il est vécu humblement, répond à la nécessité pour l’Église de confirmer et de témoigner qu’elle est bien l’Église des petits et des pauvres, qu’elle demeure la présence réelle et grandissante du Christ sauveur parmi les hommes d’aujourd'hui.  J’ai trop été confronté à la tiédeur de l’accueil des religieux qui devraient être les premiers témoins, ceux qui prétendent avoir donné leur vie.  Je les ai trouvés trop riches derrière leurs portes fermées, trop occupés à prier pendant que le monde souffre et attend, trop soupçonneux et méfiants. L’Église m a déçu mais la Parole demeure toujours et d’autant plus vraie. Il faut que l’Église se libère de tout ce qui peut être immédiatement interprété comme contre témoignage et éloigner les hommes, les vrais, de la vérité qui la fonde. Il faut qu’il y ai des lieux d’accueil INCONDITIONNELS comme la Fraternité Saint Paul. Que l’Église, en voulant assurer sa survie comme on tient boutique, ne se perde pas ! Cette vision me happe, m’obsède et me brûle. Par le don de lui-même et les fruits visibles que portent Henry Quinson et sa Fraternité, tous les autres sont rachetés. Il est, elle est, l’Église que j’aime et en laquelle je désire croire, pour la gloire de Dieu et le salut du monde !

M. I., Aix-en-Provence